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LE BELLINE... et répond à vos questions
De l’intuition
à la VOYANCE
(1) Beaucoup de gens “sentent les choses”. Comment passer de l’intuition à la voyance ?
(2) Rencontrer une carte, c’est rencontrer un enseignant ou même un maître spirituel.
PRATIQUE
Ma bonne Étoile
(3) Perdu et ne sachant que faire ? “Ma bonne Étoile” vous conseille depuis le printemps 2001.
Vous l’avez dit
Vous l’avez fait
(A) Le destin, c'est la rencontre de deux "fatalités". (2010)
(B) S'il est bon d'avoir une destinée, il est regrettable de tomber sous les coups de la fatalité. (2011)
(C) Histoire du Titanic (suite) : encore plus de fatalité, mais aussi de destinée. (2011)
(D) Voyance et champs magnétiques. (2012)

ACTUALITÉ : vos Questions/Réponses sont dans le trimestriel : “Le Journal de PiStar”.

IMPORTANT. On ne donne pas de consultations sur ce site. Il est réservé à un ENSEIGNEMENT GRATUIT

Dernière mise à jour : 31 décembre 2012
Copyright © 2010 / 2012 : Pistar
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De l'intuition à la voyance

Sommaire

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(1) Beaucoup de gens "sentent les choses". Alors, comment passer de l'intuition à la voyance ?

    Intuition = sentir. Voyance = voir avec précision.
    L'intuition, c'est pressentir ou simplement sentir quelque chose. La voyance est une forme d'intuition très développée, qui fait que nous voyons une image.
    Comment passer de l'intuition à la voyance ?
    L'intuition, c'est sentir quelque chose qui se trouve tout près, qui nous touche directement. La voyance, c'est voir au loin, c'est aussi voir pour les autres. La voyance, c'est donc "voir". Pour voir au loin, il faut un horizon dégagé, il faut donc avoir désencombré sa vie.
    Il existe quatre sortes de gens :
    (a) ceux qui ne sentent rien.
    (b) ceux qui sentent des choses de temps en temps, mais de façon fugage. Ils ont bien senti que telle chose allait se passer mais ils doutent tellement d'eux qu'ils n'ont pas osé en parler.
    (c) ceux qui sentent les choses et tiennent compte de leurs intuitions. (d) ceux dont la voyance est le métier.

  • (a) Les gens "qui ne sentent rien" ont une vie très encombrée...   Retour au Sommaire.
    Quand le corps crée de nouveaux ennuis chaque jour, quand une personne est tellement obsédée par son apparence qu'elle se demande si elle ne devrait pas ajouter un nouveau tee shirt à sa collection, il n'y a plus de place pour voir quoi que ce soit concernant sa propre vie, et encore moins celle des autres.
    Or on ne peut accéder à son ressenti que dans une vie désencombrée.
    A ce stade de débutant, beaucoup de personnes voudraient obtenir des conseils pour faire tout de suite quelque chose, un peu de magie, un peu de rêve aussi. Désolée : avant tout, la voyance, c'est voir. Et si on a du sable dans les yeux, il faut enlever ce sable et non pas se mettre à prier. Non pas que je sois contre la prière, mais il faut faire les choses dans l'ordre.
  • (abis) ...mais il arrive qu'on soit voyant, même avec une vie très encombrée   Retour au Sommaire.
    Certains voyants essaient de passer outre : leur vie ressemble à une catastrophe mais ils exercent leur don malgré tout. Ils disent qu'ils penseront à eux plus tard. C'est une erreur. Un jour, tout va mal et les voilà obligés de penser à eux, enfin. Mais c'est souvent trop tard, la maladie s'est installée et le désespoir aussi.
  • (b) Ceux qui doutent d'eux ont une vie encombrée par des gens qui ne leur veulent pas que du bien   Retour au Sommaire.
    Ceux qui ne sentent rien ont trop de choses qui leur font souci. Ceux qui doutent de leurs perceptions sont sous la coupe invisible d'une personne nuisible. Dans le premier cas, on est encombré par des choses, dans le second par une personne (ou même plusieurs).
    Ces nuisibles, qui ont l'air bien gentils à condition qu'on n'y regarde pas de trop près, ne veulent pas que leur esclave prenne sa liberté. Si vous êtes dans ce second cas, vous devez prendre de la distance avec ces gens qui passent leur temps à critiquer, à dire "oui, mais...", même quand il y a une raison de se réjouir. En bref, l'idéal serait de ne fréquenter que des gens positifs ou au moins sincèrement aimables.
  • (c) Etre attentif à ses intuitions est le signe d'une vie équilibrée   Retour au Sommaire.
    Etre intuitif, c'est voir plus loin que la moyenne des gens, c'est sentir quelque chose de caché ou d'oublié, c'est percevoir les émotions des autres. En bref, c'est être capable de voir là où il n'y a qu'un mur pour les autres. Quand on arrive à ce stade-là, on s'est débarrassé de quantité de choses inutiles. Et cela va des vieux journaux qu'on ne lira jamais à des idées vieillottes qui n'ont plus cours. De plus, aucun mauvais plaisant n'essaie d'avoir barre sur des gens qui sont capables d'envoyer valdinguer dans le décor ceux qui trouvent drôle de s'amuser aux dépens des autres.
    En bref, la personne intuitive n'est ni encombrée par trop de choses ni par des gens pesants ou néfastes.
  • (d) On peut faire mieux qu'être simplement intuitif, et passer au stade de la voyance   Retour au Sommaire.
    Ce qui différencie la "personne intuitive" du "voyant" est ce qui différencie l'amateur du professionnel. L'amateur n'essaie pas de se servir de son don, il se contente de le laisser l'avertir quand il y a quelque chose à savoir. Le professionnel l'a presque toujours en éveil (sauf quand il se repose). L'amateur s'en sert pour lui-même, rarement pour les autres. le professionnel s'en sert pour conseiller celui qui en a besoin.
    Précisons que "professionnel" ici ne désigne pas quelqu'un qui a un cabinet de voyance, mais quelqu'un qui a un niveau de voyance tel que son don est presque tout le temps opérationnel. Précisons aussi que certains ont une plaque professionnelle de voyant mais ne sont que des gens intuitifs qui savent doser quelques conseils pertinents.
    La voyance produit un phénomène spécifiques qu'on appelle "flash". On voit une image, qui semble surgir de nulle part et qui s'impose à la vue, comme un automobiliste qui déboule de la droite sans prévenir. Parfois on entend un mot ou une phrase, mais c'est plus rare.
    La première fois que cela se produit, c'est déconcertant mais on finit par s'y faire. Il faut simplement avoir confiance en soi et donc ne fréquenter aucune personne susceptible de vous amener à douter de vous-même. D'où l'importance d'avoir fait son ménage au préalable.
    Ceux qui vivent de tels phénomènes et n'ont pas pris la précaution de nettoyer leur vie auparavant courent le risque de se faire démolir par des gens que la lumière dérange.

    EN BREF : enlevez ce qui est en trop dans votre vie, au lieu d'ajouter des trucs !
    Mettre de l'ordre dans sa vie avant de pratiquer l'art de la voyance n'est pas un conseil moral mais un conseil pratique. Vous voyez la différence ?
    Si on vous dit d'éliminer de votre vie les choses et les gens (ne pas oublier les gens) qui l'encombrent, ce n'est pas en vertu d'une fumeuse explication philosophique, c'est parce que si vous n'avez pas de place pour vivre, vous en aurez encore moins pour exercer un don de façon durable et non dangereuse.
    Si vous êtes un débutant, ces conseils sont d'autant plus valables.
    Voilà pourquoi vous n'aurez ici aucun conseil du genre : méditez, allumez une bougie, faites des prières à un saint... Beaucoup vous l'ont déjà dit.
    Ce qui vous est conseillé ici est un préalable que peu de gens assument parce que tout simplement personne ne leur a dit que les exercices spirituels et autres aides ne sont durablement efficaces que sur un terrain nettoyé.
    Le talent de voyance ne devrait être pratiqué que par des gens qui se sont simplifié la vie au préalable, sinon les ennuis ne vont pas tarder. C'est comme vouloir courir le marathon quand on a 20 kilos de trop. Même si on ne s'écroule pas au cours de l'épreuve, on en gardera une fragilité qui ressortira impitoyablement quelques mois ou quelques années plus tard.
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(2) Rencontrer une carte, c'est rencontrer un enseignant ou même un maître spirituel

    Les 53 cartes de l'Oracle Belline ne sont pas que des cartes de divination. Chacune d'elle est un condensé de sagesse pratique. Chacune d'elle a donc en réserve un conseil à vous donner. Il est délicat de parler d'une carte comme d'une personne. Et de confondre l'image avec un être spirituel. Mais avant de pousser plus loin cette réflexion, occupons-nous de faire la différence entre idole et icône.
  • Idole = "eidolon" = chose vue par un voyant
    Icône = "eikôn" = image peinte (aujourd'hui photo) à l'usage de ceux qui sont aveugles sur le plan subtil
      Retour au Sommaire.
    Ce que - dans l'Antiquité - on appelait "le culte des idoles" n'est pas ce que l'on croit. Aujourd'hui, on condamne les idoles mais on aime les icônes. Et pourtant, il s'agit des deux aspects d'un même phénomène tournant autour des images.
    Ces deux mots ont le même sens originel : "image", ce qui diffère est le point de vue où on se place.
    - Le "eidolon" est la chose vue, de "eido", je vois (transcrit en "video" = "je vois" en latin).
    - Le "eikôn" est l'image peinte, ou la statue.
    C'est faire un mauvais procès à ceux qui ne sont pas monothéistes que de vouloir différencier en bien et en mal le "eidolon" du "eikon". Le "eidolon" est la chose vue, cela suppose l'aptitude à voir. Le "eikôn" est la volonté délibérée d'inscrire dans la matière la chose vue.
    Prenons l'exemple d'un mannequin qui présente une robe. Et que cette robe s'appelle "joyeux printemps". La robe fait passer l'idée de joyeux printemps et quelqu'un qui est capable de percevoir une idée esthétique "voit" littéralement cette idée, il voit le "eidolon". appelé "joyeux printemps". C'est donc quelqu'un qui a une faculté de voyance.
    Le petit tour sur le podium est éphémère. Et si on veut que "joyeux printemps" soit connu du plus grand nombre de personnes, il faut prendre une photo et l'imprimer à un grand nombre d'exemplaires. Cette image matérielle, c'est le "eikôn".
    Alors, quand on glorifie "eikôn" au dépens de "eidolon", on vante les mérites d'une photo (d'une peinture dans l'Antiquité) au lieu de célébrer le talent de voyance.
    Ìl est vrai que ceux qui condamnent les idoles ont aussi rejeté la prêtresse d'Endor, celle que consulta un roi d'Israël au mépris de l'intertdiction du grand prêtre de donner de l'importance aux "idoles", littéralement aux visions d'une voyante. Et il eut bien raison.
  • On commença par abattre les idoles (le talent de voyance)...   Retour au Sommaire.
    ... puis on brûla les femmes (qu'on accusa d'être des sorcières)
    Ces histoires antiques qui parlaient d'abattre les idoles ont un sens plus sinistre que ce qui en a survécu. C'étaient moins des statues que les Chrétiens détruisirent à Alexandrie par exemple, que ce qui survivait de la science du passé. Une mathématicienne et savante comme Hypathie (370-415) fut pour ces "saints hommes" l'incarnation du mal. Non seulement, elle savait, mais elle "voyait" ! Avec elle, disparut ce qu'il y eut de meilleur dans la civilisation antique et s'installa le machisme qui condamna à la fois le "eidolon" (= la voyance) et les femmes elles-mêmes. On sait ce qu'il en résulta : le massacre des sorcières au cours des âges, elles qui n'eurent d'autre tort que de voir là où les autres étaient aveugles.
  • Sens positif aujourd'hui : l'icône (dessin symbolique) est l'intermédiaire pour accéder à l'idole (l'image, le flash vu par le voyant)   Retour au Sommaire.
    Il existe deux sortes de jeux de cartes utilisés en voyance :
    - les "oracles " au nombre de cartes variable. Le Belline en a 53 (en fait 52 + 1),
    - les "tarots" au nombre de cartes fixe : toujours 78. Les cartes à jouer ordinaires en comptent 52 et sont un dérivé des cartes mineures du tarot.
    Ces cartes sont souvent richement illustrées de dessins très symboliques. C'est une manière de transmettre un enseignement sous forme illustrée. La contemplation de ces images (ces "icônes") constitue un moyen de réveiller en soi l'aptitude à "voir", puisqu'un "eidolon" n'est pas autre chose qu'un flash perçu en voyance.
  • Icône = fil du téléphone entre un maître spirituel et l'apprenti-voyant   Retour au Sommaire.
    Il y a moyen d'aller encore plus loin sur la voie du progrès, c'est que ces images soient comme un fil de téléphone entre un maître spirituel et celui qui a besoin d'aide. Ce fil, c'est l'icône, l'image symbolique.
    Certains d'entre nous ont fait cette expérience qui consiste à ressentir la présence d'un maître spirituel tout en contemplant une des cartes du Belline. C'est donc une chose possible, au moins pour quelques-uns actuellement.
    C'est à vous maintenant de mener vos expériences sans préjugés et le cœur ouvert à tout ce qui pourrait venir l'enrichir.
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Pratique : "Ma bonne étoile"

    (3) Perdu et ne sachant que faire ?
    Votre “Bonne Étoile” vous conseille depuis le printemps 2001
    53 sources de soucis répertoriés - 53 façons d’aller vers la solution.
    53 façons de s’en sortir qui ont fait leurs preuves sur internet depuis 9 ans.


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Les auteurs

Les auteurs
Les auteurs
Viviane Le Moullec et la bande à Pi Star.
Nous enrichirons cette rubrique au fur et à mesure des questions posées... et nous partagerons donc les réponses que nous y aurons apportées.
  • Nous nous demandions quel classement commode choisir pour ces questions/réponses. Nous avons choisi les cartes de l'Oracle Belline, car il comporte suffisamment de cartes pour lister un vaste choix de questions.
  • IMPORTANT : vous n'avez pas besoin de connaître l'Oracle Belline pour profiter des conseils ci-après.
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    A - Le sens de la vie.
  • 1 - Je suis perdu, je n'arrive pas à faire un choix...   Retour au Sommaire.
    Certains donnent l'impression de suivre une route toute tracée ; ils ne remettent évidemment jamais leur vie en question. C'est de plus en plus rare car aujourd'hui nous avons intérêt à être très adaptables si nous voulons survivre... Adaptable ne signifie pas devenir caméléon et s'identifier à la mode (pour les femmes) et à la voiture (pour les hommes). Quand une société n'a que de tels choix dérisoires à proposer, c'est que cela fait longtemps qu'elle a coulé au fin fond d'un abîme de stupidité. Alors, cessez donc de vous inquiéter de l'opinion publique et des idées à la mode. Centrez-vous sur vous-même. Alors, comment faire un choix quand on n'arrive pas à se décider ?
    Répondez aux deux questions suivantes :
    a - Si j'étais tout seul, que choisirais-je ?
    b - Si l'autre personne concernée était toute seule, que choisirait-elle ? (Posez la question autant de fois qu'il y a de personnes concernées).
    Choisissez toujours la réponse à la première question, en expliquant à l'autre (aux autres) que vous n'avez pas la force de tenir compte de leurs intérêts. Vous serez très certainement surpris des réponses. Ou bien on vous abreuvera de reproches et vous comprendrez que vous n'étiez intéressant qu'esclave au service d'un but qui n'était pas le vôtre. Ou bien vous obtiendrez de l'aide pour avancer dans la voie qui vous est avantageuse. A charge pour vous de remercier une fois que vous serez tiré d'affaire.
    Remarque : c'est aussi un bon moyen de distinguer ses amis de ceux qui n'en valent pas la peine...
  • 2 - Quel est l'homme de ma vie ? Quel est la femme de ma vie ?   Retour au Sommaire.
    En un temps où deux mariages finissent pas des divorces (en région parisienne) il est sage de se poser la question AVANT !
    Plusieurs voies spirituelles enseignent que pour chacun il y a sa chacune même si on ne le (la) retrouve pas dans cette vie. Du coup, ils (elles) attendent, espérant la venue de l'Autre. Mais même si vous deviez rencontrer votre Moitié, si celle-ci n'est pas au même niveau d'évolution que vous (en avance ou en retard), vous auriez du mal à vous entendre. Alors mieux vaudrait bâtir un couple honnête plutôt qu'attendre en vain la réalisation d'un rêve. Remettez-le à une autre vie mais en attendant vivez celle-ci.
    Voici deux conseils fondamentaux :
    - ne vous dissimulez pas des informations importantes : toute chose que vous cachez sciemment à l'autre devient une barrière invisible, pire, vous amène à ajouter des pierres à ce mur.
    - conservez toujours vos activités personnelles d'avant le mariage. Une union doit apporter à chacun, pas appauvrir par des sacrifices réciproques. Quand quelqu'un sacrifie quelque chose il le fait souvent payer à l'autre. Au contraire, intéressez-vous aux activités personnelles de votre conjoint. Et si vraiment le football ou l'aquarelle ne vous disent rien, accordez à l'autre cet espace de liberté. Au lieu de vivre son mariage comme une prison, il appréciera qu'il soit un espace où ses activités personnelles sont non seulement respectées mais encouragées.
  • 3 - Qui suis-je vraiment ? Qu'ai-je envie d'être ? De vivre ?   Retour au Sommaire.
    Qui suis-je ? Ou vais-je ? En quelle état j'erre (et sur quelle étagère ajoute le mauvais plaisant...).
    Pour obtenir un commencement d'idée, répondez par écrit aux trois questions suivantes dans l'ordre :
    - Où suis-je ? Ne croyez pas la question naïve. Répondez par exemple : «j'habite dans une ville énorme» ou bien «je suis seul comme un rat dans une campagne déserte»... Ecrivez tous les "Où" que vous trouvez, sans rejeter quoi que ce soit. Quand vous pensez avoir fait le tour de la question, passez à la suivante.
    - Que suis-je ? Cette question concerne les rôles que vous jouez. Parmi les rôles : votre métier, le fait que vous soyez un père, que votre dada c'est la peinture à l'huile... Notez les plus petits rôles, même ceux qui vous paraissent sans importance.
    Qui suis-je ? Quelles sont vos vraies envies, comment voudriez-vous être avec les autres, quelles sont vos aspirations profondes... Vous verrez que les réponses vous viendront plus facilement après avoir défriché le terrain avec les deux autres questions.
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    B - Faire les bons choix
  • 4 - Comment intégrer mon passé au présent ?   Retour au Sommaire.
    Une expérience intéressante fait partie naturellement du présent. Les ennuis commencent avec ce qu'on a enfermé dans un trou noir parce qu'on ne savait pas comment s'en sortir... et qu'on n'a donc jamais terminé le cycle. Pour en finir, il faut mener à bien ce qu'on a commencé ou décider qu'on s'est trompé et passer à autre chose.
    Du point de vue spirituel, il est important de savoir finir. Cela permet de commencer autre chose au lieu d'être coincé dans "continuer, continuer, continuer..." comme une roue sans fin. La libération passe par "ça suffit !".
  • 5 - J'ai réussi, comment ne pas perdre ce que j'ai gagné ?   Retour au Sommaire.
    Quand vous avez une rentrée d'argent inhabituelle remboursez tout ce que vous pouvez de vos dettes si vous en avez. Et, seulement s'il en reste :
    - mettez la moitié de ce qui reste de côté (en pensant au futur)
    - avec l'autre moitié faites vous plaisir, à vous pas à quelqu'un d'autre (de manière à ensoleiller le présent). Sachez vous récompenser avant d'en avoir assez de vous "dévouer" pour rien. C'est là un des secrets de la réussite.
  • 6 - Je suis un "grand" et on compte sur moi...   Retour au Sommaire.
    Faites bien attention aux idées pourries qui consistent à vous faire croire que vous êtes indispensable (les cimetières en sont pleins) ou que vous devez vous dévouer au bien des autres (pour le plus grand bénéfice de ceux qui ne font rien pour s'en sortir).
    Même les "petits" ont quelque chose à donner en échange. Respectez les en ne sous-entendant pas qu'ils sont incapables de vous donner quelque chose. On respectera votre don - on tirera parti de votre aide - en fonction du respect que vous aurez manifesté.
  • 7 - Sortir de l'ombre... est-ce bien malin ?   Retour au Sommaire.
    Le problème commence quand on vous dit d'aller au casse-pipe à la place du "responsable" qui ramasse l'argent ou les honneurs mais n'a aucun état d'âme à ce que ses subordonnés en crèvent.
    Dans un premier temps, tâchez de trouver une bonne raison de ne pas y aller. Dans un second temps, n'y allez pas et laissez pourrir. Je sais, c'est difficile quand on a une conscience mais ne prenez jamais les responsabilités qui ne sont pas les vôtres. En résolvant le problème à la place de son propriétaire, vous ne faites que contribuer à pourrir un peu plus la situation... et on vous en rendra responsable à juste titre. Alors, un peu de courage : laissez brûler Rome si vous n'êtes pas pompier (et payé pour ça).
  • 8 - Mes amis et moi   Retour au Sommaire.
    La pire faute de quelqu'un qui atteint un certain niveau est d'oublier ceux qui ont été là quand il était tout petit. Il se peut que la principale raison de l'effondrement des puissants... et des civilisations réside dans cet abandon.
    Pratiquement :
    - On ne tombe jamais en enfer quand on sait se séparer à temps (il n'est jamais trop tard pour bien faire) de ceux qui ont trahi ou abandonné (ce n'était pas des amis).
    - Le ciel n'est jamais vide pour celui qui est fidèle à ses amis.
  • 9 - Comment trouver le temps de vivre ?   Retour au Sommaire.
    Ceux qui n'ont pas le temps ont donné leur temps aux autres...
    Petit remède : consacrez à une activité solitaire (lecture par exemple) une demi-heure par jour (un quart d'heure si cela vous paraît beaucoup pour commencer). N'acceptez jamais de renoncer à ce temps bien à vous, quoi qu'il arrive. Au bout d'un mois, vous serez surpris par le résultat : du temps à vous.
    Ce sera un progrès spirituel car vous vous serez accordé à vous-même le droit de vivre.
  • 10 - Les cadeaux de la vie   Retour au Sommaire.
    La formule de politesse "Merci" suivi de "de rien" est une vraie vacherie. Si on a fait quelque chose qui mérite un "merci" c'est que cela valait quelque chose ! Alors, cessez de vous déprécier et répondez au "merci" par : "je suis content de t'avoir été utile".
    Astreignez-vous à le faire le plus souvent possible et vous serez surpris... vous appréciant vous-même, les autres vous apprécieront et la vie vous fera des cadeaux.
    Quant à ceux qui oublient de vous dire "merci" oubliez-les à votre tour pour ne vous intéresser qu'aux gens qui en valent la peine.
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    C - Résoudre des difficultés
  • 11 - Je me sens trahi. Comment réagir ?   Retour au Sommaire.
    On n'est jamais si bien trahi que par soi-même. Si on vous a laissé tomber c'est que vous avez fait confiance (sans vérifier) à quelqu'un qui n'était pas fiable. Il vous a soutenu comme la corde soutient le pendu... Mais le pendu, c'était vous.
    Ce qu'on n'a pas pris la peine de vérifier, on se l'imagine. « Mais je pensais que...» disent alors ceux qui ouvrent trop tard les yeux. Vous pensiez, certes mais vous étiez-vous mis d'accord ? On ne peut accuser quelqu'un de trahison s'il n'a pas pris formellement un engagement. Et si une personne refuse de répondre quand vous lui posez une question pour obtenir son accord, alors elle s'apprête à vous trahir. Autrement, elle aurait dit clairement non.
    Ne pensez jamais à la place des autres. Communiquez et mettez-vous d'accord. Ou alors enregistrez son désaccord. Ayez le courage d'essuyer un refus sinon vous êtes le candidat tout trouvé pour la prochaine trahison.
  • 12 - Il ou elle s'en va...   Retour au Sommaire.
    Laissez-le partir.
    Ou bien vous tentez de le retenir contre son gré et il sortira par la porte de derrière (et vous vous sentirez trahi - voir question précédente) ou bien vous lui accordez sa liberté. Courrez derrière quelqu'un et il court encore plus vite pour vous échapper. Laissez-le partir et il se rapprochera. Mais ne le reprenez qu'avec un accord en bonne et due forme. S'il s'en va à nouveau c'est qu'il a la trahison dans l'âme. Laissez tomber.
    En laissant partir de votre vie ceux qui le désirent, vous faites la place aux personnes qui sont plus en harmonie avec vous et ainsi pourrez-vous prendre un nouveau départ.
  • 13 - Sur qui puis-je compter ?   Retour au Sommaire.
    Sur toute personne avec qui vous avez un véritable accord. Exemple : je fais la vaisselle et tu descend la poubelle. Toute situation bancale, où l'un donne beaucoup et l'autre peu, est vouée à l'échec. Ne pensez pas que c'est momentané... que les choses vont s'arranger, qu'un miracle va se produire. Les profiteurs sont à jeter dehors et vous, cessez de vous trahir honteusement !
    La solution : ne donner que si on vous donne quelque chose en échange. Pour la charité, qu'elle soit très ponctuelle et surtout n'engage en aucun cas votre avenir. On peut donner un peu de son superflu, jamais de son nécessaire.
  • 14 - Je dois retourner à l'école !   Retour au Sommaire.
    Vous devez aller en formation permanente et vous vous demandez si vous allez en être capable... Deux bons conseils :
    - posez toujours une question quand ce n'est pas clair. Un proverbe chinois dit : «Quand on pose une question on est bête pendant 5 minutes, quand on ne la pose pas, on est bête toute sa vie».
    - ayez toujours un dictionnaire à portée de main. Il vaut mieux vérifier le sens d'un mot plutôt que se dire «c'est à peu près cela». L'à peu près est le prélude aux faux-pas. Et finir par se casser la figure est la triste façon de se dégoûter des études.
  • 15 - Comment faire pour me retrouver ?   Retour au Sommaire.
    On a le sentiment de s'être perdu de vue quand on est écrasé par la vie (on appelle ça pudiquement une vie trop remplie). Où êtes vous ? Sous le fatras des choses "indispensables" qui seront oubliées à la saison prochaine.
    Un conseil : accordez-vous de faire le tour du pâté de maison pendant au moins un quart d'heure chaque jour (une demi-heure ensuite). Faites-le quoi qu'il arrive. Les choses attendront, votre vie elle, ne vous attendra pas. Et si quelqu'un vous reproche de ne pas assez penser à lui (elle) et de toujours penser à vous, ne répondez pas. Cette personne est celle qui accumule des devoirs sur vos épaules pendant qu'elle en fait le moins possible. On ne discute pas avec quelqu'un qui entasse les pierre sur votre vie. On s'en va ou si on ne peut partir, on refuse toute discussion.
    Au bout du compte, vous aurez un peu plus conscience de vous-même.
  • 16 - Où est Ma Maison ?   Retour au Sommaire.
    Vous vous souvenez du film "E.T." ? Le petit extraterrestre pointait son doigt vers les étoiles en disant : “Maison !” d'une voix poignante. Beaucoup de personnes ressentent cette nostalgie car les familles se séparent et les maisons familiales vont à des étrangers. Si on a le sentiment d'avoir perdu ses racines, il est bon de se rendre compte qu'on a aussi la liberté de ne plus être dépendant de charges qui entravaient sa liberté. Cela implique de faire ses propres choix, en fonction de soi-même et pas de sacrifices qu'on s'impose à soi-même sans récolter souvent la moindre reconnaissance.
    Choisissez de considérer votre maison comme le lieu dont vous pouvez dire : "C'est là que mon coeur est en paix".
  • 17 - Ma santé... ce n'est pas terrible...   Retour au Sommaire.
    L'état de bonne santé perdure tant que vous vous prenez soin de ce qui vous appartient. Si vous laissez un territoire sans surveillance, comptez sur les méchants pour l'envahir. La guérison ne consiste pas à créer un nouvel état mais à restaurer l'état ancien où on se portait bien. Plutôt qu'ajouter des choses, il vaut mieux enlever le mal.
    La première chose à faire est de vous éloigner des gens négatifs : ce sont eux qui volent votre énergie. Si vous ne le faites pas et vous occupez seulement de votre corps physique, ce sera comme vouloir remplir un tonneau percé. Toute guérison physique stable commence par l'éloignement des sources de négativité.
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    D - Le travail
  • 18 - Il faut que ma vie change !   Retour au Sommaire.
    Cessez de ressasser les tristesses du passé. Réglez les problèmes en suspens. Ne vous engagez sous aucun prétexte dans quelque chose de nouveau. Quand votre présent sera un peu dégagé, prenez un peu de temps pour vous, au loin de tout ce qui est votre vie quotidienne. Gageons qu'à votre retour votre vie aura changé. Note : le plus difficile est de ne pas s'engager dans quelque chose de nouveau tant qu'on se trouve dans ce travail de libération. Tout le piège est là...
  • 19 - Des sous !!!   Retour au Sommaire.
    Le plus difficile n'est pas d'en gagner mais de ne pas les dépenser bêtement. Astreignez-vous à éliminer les dépenses qui ne sont pas indispensables et vous verrez l'argent revenir vers vous. L'argent a horreur qu'on le gaspille... et il ne rentre pas chez celui qui le jette par les fenêtres.
  • 20 - Faire face à un tyran   Retour au Sommaire.
    On ne doit jamais discuter avec un tyran. On croit qu'il est accessible à la raison mais, sous des dehors rationnels, il est fou. Il ne pense qu'à une chose, avoir un moyen de pression sur les gens vu qu'il est incapable de discuter sincèrement.
    - Le moyen de pression peut être visible : "si vous ne faites pas ce que je vous demande, comme je vous le demande, vous pouvez dire adieu à votre augmentation". Là au moins vous savez que vous avez un ennemi et que la réponse à ce genre de menace est de ruser.
    - Le pire des tyrans est celui qui semble prendre soin de vous, fait les choses pour votre bien... et, en fait, vous traite comme si vous étiez un idiot. La réponse: ne mêlez jamais un quelconque sentiment aux affaires professionnelles, n'ouvrez jamais votre coeur à un étranger. Faire ses confidences, c'est donner un moyen de pression sur vous aux gens. La plupart des gens autour de vous sont amicaux mais vous pouvez tomber sur un vampire qui a l'air gentil et il sera trop tard après. Alors pour ne pas donner prise, n'en offrez pas.
  • 21 - Aïe ! Chômage en vue   Retour au Sommaire.
    Interdisez-vous toutes dépenses sauf celles nécessaires à la survie quotidienne. Economisez et payez si possible toutes vos dettes. Le pire serait de conserver le même train de vie en empruntant. Vous ne pourriez pas rembourser et vous vous exposeriez à être abandonné de tous. Acceptez de vivre même pauvrement et vous trouverez alors des solutions. L'argent fuit celui qui le gaspille mais revient à celui qui l'emploie avec prudence.
  • 22 - Un nouveau poste   Retour au Sommaire.
    Ne cherchez pas à tout changer, même si on vous a fait miroiter que vous êtes là pour faire du nouveau. Ce qui marche, gardez-le sans y changer quoi que ce soit. Ce qui ne marche pas mérite seul d'être changé prudemment. En valorisant ceux qui font bien leur travail vous vous ferez des alliés. Et vous en aurez bien besoin en étant le nouveau.
  • 23 - Des bruits circulent. Que faire ?   Retour au Sommaire.
    Ne vous fiez pas aux ragots : ils sont déformés. Cherchez toujours qui est à l'origine de la nouvelle et allez lui poser la question directement. Moins vous aurez d'intermédiaires, mieux vous serez informé. De votre côté, abstenez-vous de retransmettre des infos que vous n'avez pas vérifiées. En n'entrant pas dans la chaîne des ragots, vous en éviterez la contamination. Au contraire, vous ferez partie du réseau des gens fiables, seulement intéressé par ce qui est utile.
  • 24 - Branle bas de combat : on change tout !   Retour au Sommaire.
    Tous aux abris : voilà qu'un nouveau chef veut tout changer. Quitte à passer pour un imbécile, prenez le temps d'évaluer la situation. Il y a les fausses nouveautés et si vous foncez dedans on saura vous le reprocher, alors qu'avec un peu de patience elles seraient passées à la trappe. Il y a les vraies nouveautés, les seules à mériter votre attention et vos efforts. A terme, l'honnêteté et le courage sont payants.
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    E - Les douceurs de la vie
  • 25 - Comment apprécier chaque instant de la vie ?   Retour au Sommaire.
    Contrairement à l'opinion des esprits chagrins, nous ne sommes pas là pour souffrir. La douleur est une sonnette d'alarme, pas une punition. Ajouter des larmes à la souffrance d'autrui ne fait qu'ajouter du négatif à du négatif. Ce n'est pas avec ça qu'on améliore la vie. Il n'y a aucun mal à faire du bien aux autres et... à se faire du bien. Faites-vous plaisir et vous serez d'autant plus en mesure de créer du vrai plaisir pour les autres.
  • 26 - La paix après la bataille   Retour au Sommaire.
    La fausse paix, c'est la trêve armée en attendant de reprendre les hostilités. La vraie paix ne peut être conclue que :
    - quand on n'a plus de motif de se faire la guerre
    - s'il y a violation de l'accord, chacun reste capable de défendre son bon droit.
    L'impuissance des faibles n'est pas paix mais tête courbée en esclavage. La non violence est le choix des forts qui préfèrent une solution négociée à la guerre qu'ils savent faire.
  • 27 - Comment avoir un bon mariage ?   Retour au Sommaire.
    En ne se couchant jamais sur un désaccord : c'est un très mauvais lit ! Mais que faire si les idées diffèrent ? Accorder à chacun le droit de les avoir différentes de soi. Ce qu'on appelle communément désaccord est «Tu n'es pas d'accord avec moi et tu devrais l'être». Remplacez par : «Tu n'es pas d'accord avec moi et je suis d'accord pour que tu aies ton point de vue. Merci de me l'expliquer». Note : vous pouvez remettre l'explication au lendemain !
  • 28 - Gérer la famille   Retour au Sommaire.
    On fait beaucoup de blagues sur les belles-mères... en oubliant que sa mère est la belle-mère de l'autre. Quand deux personnes se disputent, il y en a toujours une troisième qui a soufflé sur les braises ou qui a sciemment allumé un incendie... mais ce n'est pas souvent la belle-mère. Si vous voulez que tout se passe bien dans les relations familiales, révélez à haute voix le ragot qu'on a tenté de vous imposer sous le sceau du secret. Le "faiseur d'emmerdes", se voyant découvert, ne jouera plus à ce jeu-là. Et la vie de famille ne sera plus salie par une atmosphère de secret empoisonné.
  • 29 - Les amours   Retour au Sommaire.
    Ce qui est correct est de ne pas violer un accord passé. On s'est engagé dans la fidélité ? On doit tenir son engagement ou alors clairement rompre le contrat. En préalable à tout amour - et encore plus à tout mariage - on devrait passer un véritable contrat sur ce que chacun veut bien donner à l'autre et en échange de quoi. On s'éviterait ainsi les mésaventures fondées sur l'ignorance volontaire de l'autre en espérant que les sentiments arrangeront tout. Ils n'arrangent rien et alors on a le choix entre se laisser imposer une situation (à terme un explosif) ou tout casser. Mais si on casse et qu'on n'a pas compris comment on en était arrivé là, c'est reparti pour un autre tour. La solution : discuter clairement avant tout engagement et s'en tenir aux termes du contrat moral et matériel. Si on a fait une erreur ou si un fait nouveau modifie les données, on a toujours la ressource de discuter et de passer un meilleur accord... ou d'en finir.
  • 30 - Comment se répartir les tâches ?   Retour au Sommaire.
    En passant, en préalable à tout engagement, un accord de juste échange. On fait la liste de qui fait quoi et on voit si c'est équilibré. Le juste échange se définit comme suit : un échange de choses, de services ou d'argent de valeur équivalente. L'autre ne respecte pas son engagement ? Il ne fait pas la vaisselle alors que c'était à lui de la faire ? Laissez la vaisselle sale s'empiler. Au moment de manger, ne lavez qu'une seule assiette, la vôtre. Dur à tenir ? Certes, pour commencer. Mais ne faites jamais le travail des autres à leur place : c'est le meilleur moyen de devenir esclave, ce dont personne ne vous sera reconnaissant. Au contraire, cela fera un bon motif pour vous en mettre encore plus sur le dos.
  • 31 - Les hobbies   Retour au Sommaire.
    C'est votre droit d'avoir vos passions et distractions, pourvu qu'elles vous fassent du bien. Trop souvent , l'entrée dans un couple signifie le sacrifice du foot (pour monsieur) et la peinture sur soie (pour madame) sous prétexte que ce ne sont pas des activités communes. Funeste erreur : c'est le lit de chagrin sur lequel le couple finira par se noyer. Au contraire, un couple ne devrait exister que s'il apporte un plus par rapport à l'existence en solo. On devrait toujours permettre à l'autre - et à soi-même évidemment - d'avoir ses activités personnelles.
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    F - Les ennemis
  • 32 - Comment détecter les malveillants ?   Retour au Sommaire.
    Un malveillant n'est pas celui qui tire un poignard ouvertement pour se défendre ou qui frappe ceux qui l'embêtent. Ce n'est pas non plus celui qui agit avec discrétion sans prévenir de ses intentions. Le malveillant est celui qui se fait passer pour quelqu'un d'autre. Il vous sourit de toutes ses dents mais la seconde d'avant il susurrait les pires horreurs sur vous, sous le sceau du secret bien sûr... Il prétend qu'il ne ferait pas du mal à une mouche mais il leur arrache les pattes une à une quand personne ne le voit. Le malveillant n'attaque jamais de front : il envoie secrètement les autres au casse-pipe. Lui ? il est blanc comme neige voyons ! Le malveillant n'a jamais fait d'erreur, c'est toujours la faute des autres. Mettez le plus de distance possible entre vous et ces prétendus saints qui envoient en enfer ceux qui leur font confiance.
  • 33 - Comment faire face au conflit ?   Retour au Sommaire.
    Veillez à préserver votre indépendance et à refuser toute alliance qui vous mettrait en dépendance ou qui hypothéquerait votre avenir. Ne passez un accord pour résoudre le conflit que si votre indépendance est respectée. La vraie solution à tout conflit passe par le désengagement et la reconquête de la plus grande liberté possible, même si elle implique pauvreté et solitude. Mieux vaut être seul que mal accompagné et pauvre qu'esclave à cause de ses dettes.
  • 34 - Les obligations contraignantes   Retour au Sommaire.
    Quand on a des droits, on a aussi des devoirs, en vertu de l'échange correct. Quand on achète un kilo de bonnes tomates, on doit le payer en vraie monnaie. Toute personne de bon sens est d'accord pour payer le juste prix de ce qui l'intéresse vraiment. Si donc vous ressentez que quelque chose est contraignant pour vous, c'est que vous achetez cette chose d'un prix trop élevé, ou qu'on vous paie fort mal du bien que vous faites. Au lieu de gémir, voyez là une sonnette d'alarme. Cette contrainte n'est pas bonne pour vous et vous avez intérêt à vous en sortir au plus vite.
  • 35 - Je me mets moi-même dans les pires situations...   Retour au Sommaire.
    ... je retombe toujours dans les mêmes erreurs ! Aux mêmes causes les mêmes effets. Voyez d'où ça vient : il y a toujours quelque chose ou quelqu'un qui appuie sur le bouton rouge de l'autodestruction. Remède :
    - Notez qui est dans votre environnement (ou était juste avant) que vous fassiez votre erreur.
    - Quand vous avez une dizaine de cas, voyez qui revient le plus fréquemment.
    - Eliminez cette personne de votre vie.
    La réponse est «mon patron» ? Je gage que ce n'est pas la seule personne qui vous gâche la vie. Commencez par l'autre - votre banquier par exemple qui ne cesse de vous proposer des crédits - et... vous devriez être moins sensible à votre patron.
  • 36 - Discussions et accord   Retour au Sommaire.
    Plus une discussion est rationnelle, plus elle est susceptible d'aboutir à un accord qui en vaut la peine. En revanche, quand on «négocie» avec les poings ou en faisant du chantage, on va tout droit vers l'échec. Même si un accord apparent est obtenu, l'autre n'aura de cesse de rendre la pareille. Les tyranneaux qui se croient à l'abri dans leur méchanceté finissent toujours dans le feu de joie d'une bombe. Nul n'est tenu de rester dans un jeu qui lui déplaît. Il peut y avoir des délais mais la liberté passe par le fait de payer ses dettes ou de remplir ses engagement antérieurs et surtout de ne plus en passer d'autres avant de s'être libéré du passé. Un accord de valeur ne peut être passé que par des personnes libres.
  • 37 - Défendre son opinion   Retour au Sommaire.
    Vous pouvez avoir raison et votre adversaire aussi. Ce que vous pensez d'une idée (philosophique), d'une croyance (religieuse), d'une hypothèse (scientifique) après en avoir fait l'expérience est : c'est vrai pour moi (ça marche) ; ce n'est pas vrai pour moi (ça n'a pas marché). La vérité ne se décrète ni ne s'impose (sinon c'est un dogme) et n'est pas un absolu (quelque chose que tout le monde devrait croire). La vérité consiste à voir - et tant que vous n'avez pas vu vous n'avez pas une vérité.
    Acceptez la vérité des autres et la majeure partie de l'opposition tombera d'elle-même quand vous direz : «j'accepte ton point de vue mais en échange accepte le mien». Pas d'accord ? Alors campez sur vos positions.
  • 38 - Accidents et catastrophes   Retour au Sommaire.
    Celui qui échoue est celui qui rêve à ce qu'il fera s'il réussit. Celui qui réussit est celui qui prend ses précautions en cas de... Ce n'est pas du pessimisme mais un optimisme bien compris qui consiste à savoir qu'on fera ce qu'il faut en cas de difficultés.
    Ceux qui gémissent après le coup dur sont ceux qui avaient «fait confiance», belle excuse pour dire qu'ils n'avaient pas eu le courage de se poser des questions... et surtout de les poser aux responsables en temps et en heure.
    Reste à remonter la pente. Prenez en charge progressivement si c'est réparable, sinon sortez du jeu. Mieux vaut perdre beaucoup que tout pour n'avoir pas su reconnaître son erreur.
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    G - Les amis
  • 39 - Comment reconnaître une aide véritable ?   Retour au Sommaire.
    Ne confondez pas charité et aide. La charité est à fonds perdus (ne perdez tout de même pas trop) et l'aide un encouragement à s'en sortir. Quelques conseils :
    - N'acceptez une aide (ne la proposez) que si le bénéficiaire peut donner quelque chose en échange, si petit que ce soit.
    - Attendez qu'on vous demande votre aide. On ne tire parti d'une aide quand on a fait les premiers pas et retrouvé un peu d'estime de soi.
    - Si quelqu'un réclame passivement une aide, laissez-le faire un premier effort ou ayez le courage de le laisser tomber.
    - Encouragez les bons et ne perdez pas votre temps à sauver les mauvais. Ce n'est pas votre rôle à moins que vous ne soyez curé ou assistante sociale.
    - Soyez fier de chaque pas qui vous fait avancer !
  • 40 - Comment rendre ma vie plus belle ?   Retour au Sommaire.
    Ne fréquentez pas ceux qui professent que la laideur est de l'art. Ceux-là ne valent pas plus cher que les détritus dont la destination est la plus proche poubelle. Mettez de la beauté dans votre vie et la vie vous le rendra bien.
  • 41 - Les héritages    Retour au Sommaire.
    Il y a les bons et les mauvais. En droit français, vous n'êtes pas tenu d'accepter un héritage. Auparavant, vous ferez bien de vérifier auprès du notaire si l'héritage ne comporte pas des dettes avant d'accepter, sinon vous en seriez responsable. De même sur n'importe quel plan, affectif comme spirituel. Ne vous croyez pas engagé par les promesses des autres. Ce sont eux qui les ont faites et c'est à eux de les tenir, pas à vous.
  • 42 - Comment gérer sa vie avec sagesse ?   Retour au Sommaire.
    Il est de mode de penser que la puissance est mauvaise. C'est le discours malveillant de ceux qui espèrent bien se réserver le pouvoir pour eux. Puisque la sagesse ne peut s'incarner dans ce monde que si la puissance lui en fournit le moyen, aucune personne saine d'esprit ne repoussera les moyens qui vont lui permettre de faire le bien.
    Note : la puissance comprend l'argent honnêtement gagné.
  • 43 - Distinguer le vrai du faux   Retour au Sommaire.
    - Le vrai a des habits simples et produit sur vous un effet plutôt reposant. Une personne vraie communique avec simplicité. Un produit correct ne vous promet pas la lune mais plus simplement des services de bon sens. Un savon lave, il ne vous rend pas le linge plus blanc que blanc...
    - Le faux est compliqué. Quand on écoute une personne fausse, il faut faire un effort pour comprendre ce qu'elle veut dire et où elle veut en venir. En fait, elle vous a préparé un joli piège d'où il vous sera difficile de sortir. Machin va changer votre vie d'un coup de baguette magique ? Ben voyons... le seul miracle est que son compte en banque se remplit tandis que le portefeuille des gogos se vide. Vous croyez que cela ne concerne que la publicité ? Erreur, que pensez-vous de votre collègue (de votre cousin...) qui n'arrête pas de vous dire qu'il est associé avec une mystérieuse personne ou qu'il est sur un coup fumant mais qui quémande régulièrement une pièce de 5F pour son café en oubliant régulièrement de vous la rendre ?
    Une personne vraie comme un produit vrai n'a pas besoin du mensonge pour vivre. Son coeur est tranquille et cette simplicité se communique à vous. Faites confiance à ce ressenti pour choisir ceux qui méritent votre amitié et écarter tranquillement les autres sans même un mot. En nettoyant votre espace des mauvaises herbes, vous permettrez aux fleurs de la vie d'embaumer votre existence.
  • 44 - Détecter et saisir les opportunités   Retour au Sommaire.
    Chacune de nos actions est entourée d'une aura qui attire à elle des choses semblables. Si vous vous attirez trop de choses négatives, il est urgent de vous éloigner de toute chose ou toute personne négative.
    En symétrique, créez du beau et du bien et n'ayez pour ami que des personnes positives. Au lieu de vous acharner à combattre le mal, créer du bien et la vie vous le rendra au centuple.
  • 45 - Prendre soin du bonheur   Retour au Sommaire.
    Un mensonge qui a la vie dure est que le progrès spirituel va de pair avec le fait de n'éprouver aucune émotion. Celui qui n'éprouve pas d'émotion (apathie, du grec a-pathos : pas d'émotion) est un robot, pas loin de la mort. Le progrès va de pair avec la progression en qualité des émotions. Après l'apathie, il y a tous les chagrins rentrés. Tout le monde sait que pleurer un bon coup est le moyen de se débarrasser de la pierre qui étouffait le coeur. Après il y a la peur puis la colère. Et au-dessus, toute une série de belles émotions positives. Le bonheur, c'est de vivre tout l'arc-en-ciel des belles émotions.
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    H - Le travail spirituel
  • 46 - Encore une catastrophe !   Retour au Sommaire.
    L'infortune est ce qui arrive quand on a trop compté sur des circonstances extérieures favorables sans prendre de précautions contre les passages défavorables. Le remède : améliorer un des éléments de la situation, même si c'est un tout petit élément. Par où commencer quand tout va mal ? Par n'importe quelle chose qui mérite d'être améliorée. Surtout persévérez à appliquer cette amélioration quoi qu'il se passe. Le bien attirant le bien l'étreinte de l'angoisse va se desserrer chaque jour. Enfin, pour que ce genre de situation en se reproduise plus, prenez la ferme résolution de compter plus sur vos capacités de rameur que sur des courants favorables !
  • 47 - Cela valait-il la peine de faire tout ça ?   Retour au Sommaire.
    Oui, quand rien ne se passe apparemment, on se trouve en hiver, où ce sont les choses en profondeur qui évoluent, comme le grain de blé enfoui sous son manteau de neige. Mais il ne faut pas que cela dure plus que quelques mois, un an tout au plus. Sinon, il faut chercher remède ailleurs que dans la patience.
    La vraie immobilité est un conflit entre un but que l'on croit bon et le fait de n'en avoir pas les moyens. Quand on ne se donne pas les moyens du changement c'est que le changement ne serait pas favorable et que le but poursuivi a vraisemblablement été imposé de l'extérieur. Ce n'est pas une bonne idée de vouloir devenir avocat simplement pour faire plaisir à papa. Le remède : cessez de poursuivre des buts qui ne sont pas véritablement les vôtres.
  • 48 - Encore un coup du destin !   Retour au Sommaire.
    Le destin est très dépendant du groupe dans lequel on vit. Si on passe son temps au Groenland, il ne faut pas s'étonner d'avoir l'incroyable malchance de ne pouvoir faire bronzette sur le sable chaud... Quand on est médecin, on rencontre la misère humaine tous les jours et on y est sensible. Si vraiment la vie vous semble insupportable, sauvez-vous de votre environnement. Vous pensez qu'il s'en suivra des catastrophes ? Possible mais si rester signifie en crever, ce n'est vraiment pas malin.
  • 49 - Comment voir la lumière dans la nuit ?   Retour au Sommaire.
    La lumière dans la nuit est ce que certains mystiques ont appelé la grâce, un flux d'amour qui réconcilie avec la vie. Comment faire pour la mériter ? C'est fondamentalement une question de respect de soi. Quand on fait de son mieux, quand on traite tout le monde avec respect (à commencer par soi) on attire la réponse d'êtres bienveillants hautement évolués. Pour en bénéficier, trois conditions :
    - l'intégrité (sans laquelle on ressemble à un champ de bataille où s'affrontent des forces diverses qui finissent par tout immobiliser),
    - la dignité (qui est le respect de soi et des autres, ce qui permet de se sentir digne de cette aide exceptionnelle),
    - le courage, pour remonter la pente maintenant qu'une puissante aide extérieure a tendu la main.
    Vous savez ce qu'il vous reste à faire maintenant : aide-toi et le Ciel t'aidera.
  • 50 - Tous s'effrite, rien ne dure...   Retour au Sommaire.
    Ce dont on ne s'occupe plus s'effrite lentement. Ce qui tombe en miettes ne mérite sans doute plus d'exister. Pour qu'une chose perdure, il faut prendre la responsabilité de l'entretenir. C'est un travail qui pourrait n'avoir pas de fin à moins qu'on ait - même inconsciemment - décidé que cela avait assez duré. Rien ne vous oblige à vous dévouer à une oeuvre pour l'éternité !
  • 51 - Seigneur, donnez-moi la patience... Tout de suite !   Retour au Sommaire.
    Vous imaginez-vous qu'un arbre pousse en une heure ? Ou qu'on puisse bâcler les moments d'affection ? Dans un voyage, ce qui compte autant qu'arriver à destination est le chemin du voyage. Hélas, dans ce monde de vitesse, on arrive juste après le départ. Et... on est vieux avant l'âge ! En bref, ce qui n'est pas fait en prenant le temps qu'il faut, le temps ne le respecte pas.
  • 52 - Une solitude salutaire   Retour au Sommaire.
    Ce monde d'Occident est plein comme un oeuf d'obligations diverses et tout est fait pour la distraction, moyen larvé pour que les gens cessent de s'intéresser à eux-mêmes. C'est très pervers car cela mène des gens en couple ou en groupe à trouver normal de sacrifier une part de soi. Vous trouvez que le meurtre est une bonne solution ? Non bien sûr, mais que faites-vous d'autre quand vous sacrifiez vos moments personnels sur l'autel de l'utilité publique ? Vous vous tuez chaque jour à petit feu. Prenez le temps de vous occuper de vous-même car l'expérience montre que celui qui s'oublie en arrive à oublier les autres. Restent de grandes idées et des fausses solutions où on impose son aide aux autres faute de pouvoir partager avec eux des bonheurs quotidiens. En bref, charité bien ordonnée commence par soi-même, étape nécessaire pour construire avec les autres un bonheur respectueux de chacun.
  • 53 - Une chance à saisir   Retour au Sommaire.
    Vous êtes vraiment perdu et vous vous demandez si la chance va finir par vous sourire ? Vous devriez aller faire un tour dehors et voir quelle est la chose qui vous surprend, juste en ce moment. Regardez-la bien et notez ce qui vous surprend. Puis voyez comment vous pourriez intégrer ce nouveau point de vue dans votre vie. Par exemple, la hauteur d'un arbre vous semble tout soudain étonnante ? Voyez comment prendre les choses de plus haut, c'est-à-dire comme si certaines choses devaient être vues avec de la distance. Si vous voulez que la chance vous regarde d'un œil neuf, vous devez avoir un nouveau regard sur la vie. Peu importe que votre changement soit important ou pas, ce qu'il faut est que vous ayez une nouvelle façon de regarder.
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Vous l’avez dit. Vous l’avez fait

    Vous avez déjà "Le Journal de PiStar" pour poser vos questions et y lire les réponses qui vous ont été faites. Vous y découvrez aussi celles des autres.
    Vous avez déjà "Le Journal de PiStar" pour poser vos questions et y lire les réponses qui vous ont été faites. Vous y découvrez aussi celles des autres.
    Vous avez cet espace en plus pour découvrir un peu de tout : vos réflexions à propos d'un sujet, une histoire que vous avez envie de raconter et qui pourrait donner des idées aux autres... en bref du nouveau qui incite à la réflexion.


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(A) Le destin, c'est la rencontre de deux "fatalités". (2010)

    Le destin peut être bon ou mauvais. On connaît en général les deux. Les belles rencontres sont un destin qu'on appelle parfois "fatalité". Les rencontres mortelles aussi.
    Découvrons le côté sombre de l'histoire du Titanic et de "son" iceberg. Et tirons-en des occasions de méditation pour mieux gérer notre propre vie. Nous avons tous des icebergs qui nous guettent. Non seulement nous pouvons les éviter, mais - avec un peu de sagesse - même une rencontre frontale pourrait ne nous laisser que quelques bosses !
  • Le Titanic a sombré le 12 avril 1912   Retour au Sommaire.
  • 25 ans avant cette catastrophe, une nouvelle de science-fiction racontait le naufrage du plus grand navire soi-disant insubmersible, le "Titan", après avoir heurté un iceberg. Mais qui lisait de la science-fiction en cette fin du XIX° siècle rationaliste et pourri d'orgueil ?
    Deux ans avant cette date fatale - en avril 1910 - commençait la construction du Titanic. Au même moment naissait l'iceberg qu'il devait finir par rencontrer, énorme fragment d'un gigantesque glacier sombrant peu à peu dans la mer.
    Deux destins se mettaient en route jusqu'à leur fatale rencontre, deux ans plus tard.
  • L'histoire fatale du TITANIC   Retour au Sommaire.
  • Plusieurs fautes de tous ordres se sont accumulées.
    (1) Des rivets d'acier de qualité insuffisante (les économies de bout de chandelles !).
    Ils ont été remplacés (pour la plupart) par des rivets en fer forgé. Et même pas de catégorie 4 (la supérieure) mais de catégorie 3. Il suffit d'un choc puissant pour faire sauter les têtes fragiles et alors les tôles se désolidarisent. Si les rivets avaient été en acier, comme les plaques de blindage de 4 cm d'épaisseur, ou même en fer forgé de la plus haute qualité, le grand navire blessé aurait pu tenir au moins 4h et cela aurait permis au Carpathia d'arriver à temps sur les lieux.
    (2) Des cloisons étanches ipas assez hautes.
    Elles ont été rabaissées à 3m (au lieu de 6) pour en mettre plein la vue avec un escalier encore plus monumental. Même remarque que ci-dessus. Le navire aurait pu tenir plusieurs heures et tout le monde ou presque aurait pu être sauvé.
    (3) 48 chaloupes réduites criminellement à 16.
    48 chaloupes étaient prévues au départ, mais on n'en laissa que 16 : "les passagers ne paient pas pour contempler des chaloupes" déclara M. Ismay (le patron de la compagnie maritime) qui fut un des survivants de la catastrophe. Avec 48 chaloupes, tout le monde aurait pu être sauvé.
    (4) Le seul exercice de sauvetage annulé !
    Ce jour fatal était un dimanche. Le seul exercice de sauvetage était prévu pour 11h. Le capitaine Smith préféra l'annuler ... au profit d'un sermon (c'est lui qui - en mer - célèbre l'office).
    (5) En cette nuit fatale, le navire continua à naviguer à 21 noeuds (38 km/h). Trop vite !
    C'est une vitesse démesurée par une nuit sans lune... Et surtout par une mer d'huile qui rend quasiment indétectable même un gros iceberg (pas de mouvement de vagues réfractant la rare lumière des étoiles). Il ne fut aperçu que lorsqu'il n'était plus qu'à 600 m. Or ce navire parcourait 600 m en une minute, temps insuffisant pour le dérouter de l'iceberg.
    (6) L'officier de vigie : sans jumelles !!!
    La vigie aurait pu apercevoir l'iceberg lorsqu'il aurait été à 2km si cet officier avait disposé de jumelles, mais seuls les officiers supérieurs de la passerelle (le commandement) en disposaient.
    (7) L'avant-dernière alerte "iceberg" manquée par incompétence.
    C'est le Carpathia - à 4h de là - qui envoya l'avant-dernière alerte à l'iceberg. Mais comme le code "msg" ne figurait pas sur le message (= transmettre immédiatement au capitaine), le message fut abandonné sur le bureau par un officier-radio incompétent.
    (8) La dernière alerte "iceberg" manquée par cupidité.
    L'officier radio de garde a même insulté le radio du "Frankfort' qui était à 30 km de là et qui lui a envoyé le dernier message d'alerte concernant l'iceberg fatal. Pourquoi ? Parce qu'il empêchait son activité hautement lucrative - à cause des pourboires touchés en envoyant des messages personnels des riches voyageurs. Du coup, le "Frankfort" a fermé sa radio pour la nuit et n'a donc pas entendu les appels de détresse du Titanic. Il aurait pu être sur place en moins de deux heures...
    (9) Un capitaine qui n'avait pas la pratique des icebergs.
    Le capitaine en second qui donna les ordres ultimes - alors que l'iceberg était enfin visible - manquait de compétences pour affronter un iceberg. En 1875, un navire heurta de front un iceberg, s'en tira avec le nez cabossé et rentra à bon port, même en clopinant un peu. On savait donc que faire en cas de danger immédiat.
    Le second improvisé du Titanic (il prit son commandement au dernier moment, évinçant ainsi le second habituel du capitaine Smith) fit inverser les machines, ce qui est bien. Mais il n'aurait jamais dû commander une manoeuvre d'évitement. Habituellement officier en second de l'Olympic, il ne connaissait pas bien les caractéristiques du Titanic, et ce fut fatal.
    S'il avait mis son orgueil en sourdine et foncé sur l'iceberg, le bateau aurait parfaitement résisté, amoché certes, mais conservant toute sa navigabilité. L'officier aurait peut-être essuyé un blâme de la part des arrogants armateurs, mais il aurait eu sa conscience pour lui. Encore faut-il avoir la connaissance pour avoir une conscience !
  • L'histoire de l'incroyable survie de l'ICEBERG   Retour au Sommaire.
  • Pendant ces deux ans (avril 1910 - avril 1912), l'iceberg fatal survécut d'une incroyable façon. Lorsqu'il coula le Titanic, il était encore énorme et faisait 10 fois la longueur de l'immense navire.
    (1) L'iceberg n'aurait jamais dû descendre plus bas que le 48° parrallèle.
    Il le fit pourtant.
    (2) L'iceberg aurait dû être érodé et fondre en rencontrant le Gulf Stream, mais...
    Mais le courant froid qui le portait descendit anormalement bas et le protégea des eaux chaudes du Gulf Stream. Il pénétra donc dans la grande route de navigation où se retrouvaient tous les navires, à moins de 2 h de navigation pour le plus proche. Les navires ne sont jamais très éloignés les uns des autres car c'est une voie maritime très fréquentée. Cette proximité était une constante très secourable. En cas de nécessité, les secours peuvent arriver rapidement... du moins quand on n'insulte pas l'officier radio qui essaie de vous aider.
  • Pourquoi les autres navires s'en tirèrent-ils fort bien ?   Retour au Sommaire.
  • Face aux icebergs (celui que rencontra le Titanic était loin d'être le seul) tous les autres navires s'en tirèrent bien pour au moins trois raisons :
    - parce qu'ils naviguaient à petite vitesse,
    - parce qu'ils écoutaient les messages des autres navires,
    - et parce que leurs vigies avaient des jumelles !
  • Iceberg + Titanic = une rencontre fatale qui aurait pu ne pas être mortelle.   Retour au Sommaire.
  • Jusqu'au dernier moment, aucune des fautes n'aurait été fatale si...
    (1) ... Si le radio n'avait pas insulté le Frankfort en lui disant "de la fermer".
    A 30 km de là, ce navire aurait pu rejoindre le Titanic en moins de deux heures et tout le monde aurait été sauvé, même avec un nombre insuffisant de chaloupes. Le Carpathia était à 4h de là, or le Titanic sombra en à peine plus de 2h. Il sauva tout de même plus de 600 personnes mais 1.500 périrent dans ce naufrage.
    (2) ... Si le capitaine en second avait su quoi faire quand on rencontre un iceberg.
    Au lieu de croire le baratin commercial concernant l'insubmersibilité du navire, le capitaine en second aurait du mettre de côté son orgueil et foncer droit dessus l'iceberg.
    Comme quoi le bourrage de crâne de l'immonde publicité peut être mortel car il aveugle les esprits. Son mortel sirop vous est servi tous les jours, alors extrapolez ce qui est arrivé au Titanic pour ne pas faire de votre vie un naufrage programmé.
  • Conclusion : le DESTIN n'est jamais une fatalité quand on se comporte de façon éthique.   Retour au Sommaire.
  • Presque tout le monde croyait en l'insubmersibilité du navire alors que d'énormes fautes de conception le condamnaient dès le départ. Fautes dues à l'arrogance des commanditaires et non des ingénieurs qui conçurent primitivement ce navire. Et pourtant, même ces fautes auraient pu ne pas être mortelles.
    Mais quand la stupidité, l'orgueil et l'obsession du profit remplacent tout respect humain, alors le destin - oh oui - trouve son aboutissement logique : le navire rencontre l'iceberg... et de la pire des façons.
  • Seconde conclusion : le DESTIN c'est quand deux éléments ou personnes se mettent en marche pour se rencontrer, comme l'iceberg et le Titanic.   Retour au Sommaire.
  • Leur rencontre peut être fatale quand l'arrogance et la stupidité se conjugent pour en faire une rencontre... aveuglante et donc mortelle.
    Une personne propre rencontre aussi son destin. Si elle fait de son mieux avec sa plus grande honnêteté possible, elle passe des moments qui peuvent être désagréables mais aussi pleins d'enseignements. Et elle ne quitte cette vie que quand son heure est venue.
  • La VOYANCE, l'intuition, les rêves peuvent être d'utiles conseillers !   Retour au Sommaire.
  • Certains futurs passagers - qui reçurent des avertissements par des voies spirituelles - les écoutèrent, renoncèrent à leur voyage et sauvèrent ainsi leur vie. Mais même la voyance ne peut sauver ceux qui n'en écoutent pas les avertissements et refusent ainsi d'apprendre les leçons de la vie. L'arrogante bêtise est - bien plus que le danger - une maladie mortelle.
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(B) S'il est bon d'avoir une destinée, il est regrettable de tomber sous les coups de la fatalité. (2011)

    Dans l'Oracle Belline, les deux cartes qui parlent de destinée et de fatalité sont respectivement :
    1-La Destinée.
    48-Fatalité.
  • La différence entre destinée et fatalité   Retour au Sommaire.
  • La destinée est ce qu'on sent qu'on devrait réaliser.
    La fatalité est ce qui vous tombe dessus.
    (1) Destinée... fatale.
    En fait, ce n'est pas si simple, de nos jours. Car on dit souvent : "mon fils (ma fille), tu es destiné(e) à me succéder". C'est donc un destin imposé qu'on a rarement envie de devoir accomplir. Voilà une destinée qui a le poids d'une fatalité.
    (2) Fatalité... qu'on a attirée.
    Vous ne payez pas vos impôts ? Et le percepteur vous convoque ? Ce n'est pas un sale truc qui vous dégringole dessus de l'extérieur, c'est vous qui avez causé ces ennuis par négligence.
    (3) Destinée et fatalité au sens juste.
    "Destinée" ne devrait être employé que pour parler des choses positives que l'on ressent profondément vouloir accomplir.
    "Fatalité" ne devrait être désormais employé que pour les choses extérieures et qui ont réussi à vous tomber dessus.
    (4) Et le destin là dedans ?
    Malheureusement ce mot a progressivement pris une teinte attristante et son sens est proche de fatalité.
    Il y a tout de même une différence :
    - le destin est interne (c'est la propension intime au malheur),
    - la fatalité est externe.
    On constate très souvent que la fatalité n'arrive pas par hasard : elle est aimantée par le "destin", cette zone de nous qui a une propension à faire les mauvais choix du malheur. La plupart des gens ont au moins une zone d'ombre : mariage régulièrement raté, "pas de chance" pour trouver un emploi, la bonne poire toujours exploitée par son entourage, etc.
    (5) Le remède provisoire au "mauvais destin".
    Repérez les zones où il ne vous arrive que des ennuis et - dans la mesure du possible - abstenez-vous désormais de vous en mêler. Les gens qui en sont à leur troisième divorce et à la cinquième liaison qui se termine dans les cris et les hurlements devraient trouver un autre jeu que le mariage ou l'union temporaire.
    On me rétorque régulièrement que ce n'est pas possible de s'en passer. C'est à vous de voir...
  • La différence entre responsabilité et culpabilité   Retour au Sommaire.
  • (1) Responsabilité et culpabilité : définitions.
    Responsabilité = c'est dire "c'est moi qui l'ai fait" ou "c'est moi qui ai oublié de le faire". C'est un constat, pas un jugement de valeur.
    Culpabilité = c'est être responsable d'une chose négative.
    (2) Détaillons la culpabilité.
    La culpabilité - on vient de le voir - c'est être responsable d'une chose négative.
    C'est parfois une condamnation légale (coupable de meurtre) et le plus souvent, le sentiment désagréable ou même écrasant :
    - qu'on a fait quelque chose de mal (péché par "commission", du verbe commettre, disent les chrétiens),
    - qu'on n'a pas fait le bien qu'on aurait du faire (péché par omission).
    (3) Vous n'êtes pas responsable de tout ce qui arrive ! Vous n'avez pas à sauver le monde !
    Vous n'êtes pas l'origine ni la cause de tous les événements du monde, et - pour certains - vous en êtes encore moins coupables ! Pour ceux-là, arrêtez de vous prendre pour Jésus-Christ !
    Soyons clairs : en bref, ce n'est pas vous qui avez créé l'univers à vous tout seul !
    (4) Mais vous êtes responsable de vous-même et de votre vie.
    Vous n'êtes donc pas responsable de tout ce qu'il se passe dans l'univers, ni même de tout ce qui arrive à vos amis. Cependant, vous êtes responsable de la manière dont cela arrive jusqu'à vous. Et donc de la réponse appropriée à donner.
  • Mieux comprendre "destinée" et "fatalité" en se référant au Titanic.   Retour au Sommaire.
  • Dans la question suivante : "Histoire du Titanic, encore plus de fatalité mais aussi de destinée", vous allez découvrir de nouvelles informations sur le rapport entre destinée et fatalité. Un capitaine incapable de faire face à une catastrophe est une fatalité pour les autres, mais cela est dû non pas à des conditions météo tragiques mais à l'irresponsabilité des armateurs et aussi des assureurs.
    On en conclura donc que :
    - que la fatalité est largement due à l'irresponsabilité,
    - et que la destinée résulte de sa propre capacité à prendre des décisions, en d'autres termes à prendre sa vie en main, ce qui n'est possible que quand on décide d'avoir une attitude responsable.
    Notez qu'une attitude responsable ne signifie pas aller jusqu'au bout quoi qu'il en coûte. Parfois il est bien plus responsable du dire : "cela suffit" et d'arrêter de gaspiller son énergie jusqu'à ce que que mort s'en suive.
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(C) Histoire du Titanic : encore plus de fatalité... mais aussi de destinée. (2011)

    L'histoire du Titanic comprend d'incroyables erreurs ou comportements bizarres. Il y en a encore quelques-uns à ajouter. Pas pour le plaisir d'ajouter du pire aux désastres dont il a déjà été question, mais simplement pour montrer qu'il y aurait encore eu des erreurs à éviter. La plupart des grandes sottises viennent de la méconnaissance :
    (a) de la Nature,
    (2) de soi-même.
    Alors commençons par en apprendre un peu plus sur la puissance d'un iceberg... et sur les faiblesses du commandant Smith.
  • Un puissant ICEBERG   Retour au Sommaire.
  • (1) L'énorme puissance contenue dans un iceberg.
    Un iceberg n'est pas qu'une masse qui flotte, c'est un gros tas qui se déplace. Il a donc emmagasiné beaucoup d'énergie. Quand quelqu'un lui rentre dedans, c'est comme s'il répondait en envoyant une énorme claque. La claque d'un iceberg, plus petit que le gros qui a rencontré le Titanic, équivaut à la poussée des principaux moteurs d'une navette spatiale au décollage.
    (2) L'iceberg qui a tailladé le Titanic n'était pas que de la glace. Il comportait des silex coupants comme des rasoirs.
    Au cours de fouilles récentes, on a découvert sur le site du naufrage des silex coupants comme des rasoirs. D'où pouvaient-ils venir ? Du glacier dont l'iceberg fatal s'était détaché. Pendant plusieurs millénaires (5000 ans sans doute), l'énorme masse de glace a raboté la roche et a emporté des morceaux de silex brisés, enfermés dans un cocon de glace. Aussi incroyable que cela paraisse, cet iceberg était "armé", de lames si coupantes qu'elles ont aggravé la déchirure et ont fait vraisemblablement la différence entre une blessure, même grave, et la mort du géant des mers.
  • Un faible COMMANDANT   Retour au Sommaire.
  • (1) Le commandant Smith, un"mondain" à qui un tel commandement n'aurait jamais dû être confié.
    Le commandant Smith avait déjà fait preuve d'une incroyable suffisance quelques années avant la tragique histoire du Titanic. Smith avait déjà frôlé la collision avec d'autres navires dans le port de New York. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il avait refusé l'aide des remorqueurs pour rejoindre son quai d'amarrage. On ne reproche pas à Smith de connaître moins bien le port que les pilotes de remorqueurs qui font cela toute la journée, on s'étonne qu'il n'ait pas eu suffisamment de bon sens pour laisser à d'autres ce qu'il ne savait manifestement pas faire. Selon le conseiller historique d'un documentaire, cela n'aurait pas eu lieu qu'une fois.
    On peut aussi s'étonner que la Lloyd (l'assureur maritime mondial) ne l'ait pas mis à l'index après de telles incartades. Relations mondaines ? Sans doute, mais aussi le fait que les armateurs et les assureurs pensaient que ce navire "marchait tout seul", donc sans besoin d'un commandant capable de faire face à une catastrophe qui n'était pas censée se produire.
    (2) Le commandant Smith a pété les plombs.
    Les commandants en second ont essayé de prendre le relais quand il a été manifeste que Smith était incapable de commander son navire d'une façon rationnelle. Ils l'ont fait trop tard et manquaient d'une expérience qu'on ne peut leur reprocher puisque Smith était le patron. Rappelons que contester les ordres d'un supérieur était qualifié de "mutinerie", ce qui a valu à plus d'un la peine de mort. Si ces officiers plus lucides s'étaient opposés plus tôt, il n'est pas sûr qu'ils aient été suivi et se seraient sans doute rapidement retrouvés aux arrêts, séquestrés dans leur cabine.
    Ils étaient sans doute pris - eux aussi - dans l'aura vénéneuse de Smith, ce qui leur a endormi l'esprit critique, jusqu'à ce que la rencontre avec une réalité mortelle - l'iceberg - les réveille brutalement.
  • Quand tout (ou presque) converge vers une CATASTROPHE, que FAIRE ?   Retour au Sommaire.
  • On peut se sentir écrasé devant une telle convergence d'éléments concourant à la catastrophe. Pourtant, ce n'est pas le but de cette étude. Chacun de ces éléments était insuffisant pour être fatal. De simples précautions auraient suffi à éviter cet empilement fatal.
    (1) Quelques facteurs aggravant la situation et de possibles solutions.
    • L'ambiance générale entourant le Titanic était "la grosse tête". Pas de la part des ingénieurs mais des financiers, prêts à glisser sur de "menus" détails afin de s'assurer notoriété et profits colossaux. Si l'un des ingénieurs avait envoyé - anonymement - l'information à de grands journaux comme quoi les aciers retenus n'étaient pas de la meilleure qualité, peut-être que cela aurait rendu les armateurs un peu plus prudents.
    • Les officiers se sont trouvés avec un commandant fou... mais difficilement contestable. Mais si deux ou trois d'entre eux avaient eu une discussion orageuse avec leur commandant, peut-être qu'il se serait un peu calmé.
    • Les passagers étaient embarqués dans l'aventure et ne connaissaient rien à la navigation dans des mers glacées. De toutes manières, discuter n'aurait servi à rien... encore que... Imaginons qu'un passager un peu conscient ait envoyé un câble (le télégramme de l'époque) payant, via l'un des officiers-radio, à un des grands journaux de l'époque. Cela aurait-il fait suffisamment de bruit pour que les armateurs envoient des consignes de prudence au commandant ? Peut-être.
    (2) Que faire contre un iceberg armé de dents de silex ?
    Le fait que certains icebergs soient armés de dents de silex est un fait connu très récemment. Pleurnicher en disant : "c'est si dangereux qu'il n'y a rien à faire" est une fausse excuse, car cela ne change rien à la nécessité de naviguer tout doucement dans des eaux dangereuses. Et quand le danger se trouve en face, il reste la manoeuvre de lui foncer dessus. Le nez du Titanic en aurait été cabossé, peut-être même le caisson étanche de l'avant droit aurait été percé par les silex, mais cela n'aurait pas tué pour autant le navire.
  • Il y a toujours des SURVIVANTS   Retour au Sommaire.
  • (1) Il y a des salauds parmi les survivants, mais il y a aussi des gens parfaitement corrects.
    Faire partie des survivants ne nécessite pas forcément de marcher sur la tête de ceux avec qui on se trouve pris dans la tourmente, encore que cela réussisse à certains. M. Ismay (un des commanditaires qui faisait le voyage), a survécu, mais a été mis à l'index par le monde entier.
    Savoir qu'on se trouve dans une situation qui comporte des dangers fait qu'on est à l'affût de ce qui se passe. Ceux qui ont été sauvés :
    - ont eu le mon sens de ne pas croire à la propagande comme quoi le navire était insubmersible,
    - se sont rendu compte que la catastrophe était en route,
    - sont les premiers à avoir laissé tomber leurs biens matériels dans leur cabine et sont donc montés immédiatement sur le pont.
    (2) Ne pas mettre le doigt dans l'engrenage.
    Il y a une bien meilleure solution que de faire partie des survivants, c'est de ne pas mettre le doigt dans l'engrenage.
    - Tout le monde savait que ce navire était un prototype. Les gens prudents - eux - ne partent qu'au second voyage afin de minimiser les risques.
    - Déjà la publicité était hyperbolique. Une véritable inflation de compliments, non mérités puisque leurs preuves n'avaient pas été validées par les faits. Toute personne de bon sens a dû penser : "trop beau pour être vrai".
    - Enfin, il reste l'intuition. Ceux qui se moquent de l'intuition féminine - et à cette époque c'était à la mode - finissent par être confrontée à la réalité d'une manière violente. Les autres ont regardé partir le grand navire si mortellement beau et ont continué leur vie dans une ombre propice à leur prudence.
  • Du chagrin pour le beau navire. Du chagrin pour le bel avion !   Retour au Sommaire.
  • Le Titanic était une réalisation merveilleuse de technique et de beauté. Idem pour le Concorde. La beauté suscite bien des jalousies et des mauvaises pensées. Et pas seulement des pensées, de parfaites manifestations de mauvaise foi, comme on l'a vu de la part des Américains à l'égard du bel oiseau français.
    C'est leur beauté perdue qui les fait regretter par les gens de bien.
    Il faut s'en souvenir à son échelle, et éviter de se faire prendre dans la tourmente des jalousies mondiales quand on est une modeste personne.
    Cependant, il est bon de rendre hommage aux belles réussites de l'homme, même si elles ont une vie aussi éphémère que le Titanic, car, avec un peu plus de bon sens, ces beautés auraient pu survivre longtemps.
  • Capitaine courageux !   Retour au Sommaire.
  • En novembre 2002, le courageux capitaine grec Maguras a essayé de sauver son pétrolier blessé au large de l'Espagne. Il n'a pas cherché qu'à sauver son navire, il a voulu éviter la marée noire aux côtes du nord-ouest de l'Espagne. Pour cela, il a contrevenu aux ordres des autorités maritimes pour éviter la catastrophe annoncée, avec un résultat partiel.
    Vous savez ce qui est arrivé ? Le "capitaine courageux" s'est retrouvé en prison alors que ce sont ces autorités maritimes qui auraient dû répondre de leur incompétence devant la Justice.
    Libéré au bout de 9 mois, il s'est contenté de hausser les épaules. Il avait fait son devoir d'officier compétent. Il avait même osé braver des autorités stupides et malveillantes.
    Il a sa conscience pour lui. Lui, c'est un vrai marin et un homme véritable. Tous ses marins ont survécu parce que, quand on confie sa vie à un tel homme, on est sûr de s'en tirer au mieux.
  • On a le destin du groupe dont on fait partie   Retour au Sommaire.
  • C'est cela, le "karma collectif" : c'est avoir un destin de même nature que les groupes dont on fait partie.
    (1) Le commandant (le patron, le maître spirituel) est un indicateur fiable de la valeur d'un groupe.
    - Beaucoup de gens sont morts dans le naufrage du Titanic, non pas parce que le navire était mauvais, mais parce que les responsables étaient des malfaisants de haute volée.
    - Aucun marin n'est mort dans le naufrage du pétrolier sous le commandement de Mangouris, car ils avaient un commandant compétent et de grande qualité humaine.
    (2) Rester ? Partir ? C'est selon la valeur du ou des dirigeants.
    Regardez les dirigeants des groupes dont vous faites partie. S'ils ont une véritable valeur humaine, restez. Sinon, partez, quelle que soit la valeur de certaines personnes qui s'y trouvent. C'est leur décision à elles de rester dans un naufrage annoncé. Votre devoir premier est de vous occuper de vous-même. Et - qui sait ? - votre exemple pourrait servir à d'autres.
    (3) Si vous partez, commencez par vous mettre à l'abri.
    Vous devez partir d'abord et - éventuellement - vous expliquer après. Surtout pas l'inverse, car cela ne sert à rien de discuter avec des malveillants ou avec des gens sous leur emprise. Seuls les actes peuvent avoir un impact.
  • Responsabilité   Retour au Sommaire.
  • Vous n'êtes pas responsable de tout ce qui arrive dans le monde. En revanche, vous êtes responsable quand permettez que cela arrive jusqu'à vous.
    - Dans les cas négatifs, vous êtes donc partiellement responsable d'être victime.
    - Dans les cas positifs, c'est à vous de permettre que le bien arrive jusqu'à vous.
    Alors, écoutez votre intuition. Prenez le large quand vous vous sentez mal à l'aise. Et restez quand vous vous sentez bien. Sans oublier la porte de sortie au cas où les choses changeraient ! Vous avez le droit de changer d'avis car rien n'est écrit définitivement, même pas une épitaphe sur une pierre tombale !
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(D) Voyance et champs magnétiques. (2012)
    Très souvent, les gens sont prêts à admettre que consulter un voyant peut non seulement faire du bien émotionnellement, mais aussi fournir des renseignements pour mieux prendre sa propre vie en main. On peut aussi avoir des pistes pour éviter des ennuis encore tapis dans l'ombre de l'avenir, ou pour mieux tirer parti d'une situation. Ce à quoi on ne pense pas est qu'apprendre des choses sur l'avenir éventuel d'une autre personne peut l'aider à mieux se tirer de ses problèmes. Pas en en parlant avec elle, tout simplement en le sachant et en lui envoyant des bonnes pensées.
  • Le champ magnétique personnel   Retour au Sommaire.
  • (1) Nous sommes aux commandes d'un ordinateur biologique qui utilise l'électricité.
    Nous vivons dans un corps physique. Nous nous servons d'un superordinateur qui s'appelle le cerveau. Mais c'est nous - être spirituel - qui sommes aux commandes de ce cerveau, enfin d'une partie de ce cerveau car une bonne partie des fonctions de notre corps sont autogérées par lui.
    Quand nous pensons, cela se traduit par une activité électrique du cerveau. Les IRM l'ont montré de façon spectaculaire. Comme toute activité électrique, cela engendre un champ magnétique.
    (2) L'utilisation de cet ordinateur (le cerveau) quand nous pensons, génère un champ magnétique.
    On peut donc dire que nous disposons à titre personnel, d'un champ magnétique qui nous est propre. Bien entendu, ce champ magnétique produit des effets. Mais avant de voir quels effets nous pouvons produire sur les autres - ou être effet de leurs champs à eux, nous allons voir ce qu'est un champ magnétique.
    (3) L'aura, c'est quoi ?
    C'est notre champ magnétique à nous, individu. Sa composition est complexe.
    - Il y a ce dont nous sommes conscients et qui résulte donc de l'activité électrique du cerveau quand nous nous en servons pour penser ou pour donner des ordres à notre corps.
    - Il y a aussi ce dont nous ne sommes pas conscients, comme l'activité du corps régie par l'intermédiaire des glandes ou de tout autre mécanisme biologique dont le corps s'occupe directement.
    - Il y a enfin l'influence des champs magnétiques des autres personnes qui pensent à nous, dont nous sommes parfois conscients ou le plus souvent inconscients.
  • Les champs magnétiques en général   Retour au Sommaire.
  • (1) Ce qu'est un champ magnétique.
    Quand il y a courant électrique, donc quand des électrons se déplacent ou vibrent (ont donc un mouvement même s'il s'agit de danser sur place), un champ magnétique apparaît autour du fil électrique en question. La plupart du temps, il est trop faible pour affecter la vie ou pour être détecté par une boussole. Ce n'est pas le cas quand on passe sous les énormes câbles à nu d'une centrale électrique (qui transportent par exemple du 400.000 volt) : l'énorme champ magnétique généré par le puissant courant électrique fait hérisser le poil quand on passe dessous.
    (2) Comment un champ magnétique est-il généré ?
    L'exemple le plus "énorme" (à notre échelle) est la Terre. Notre planète est formée de couches successives autour de son noyau. Ces couches ne se déplacent pas à la même vitesse, il y a donc frottement. Ce frottement engendre un courant électrique, comme dans les dynamos très simples de nos anciens vélos. Cette dynamo, c'était une sorte de petite bouteille en aluminium, dont la partie supérieure était encerclée par un anneau finement denté, qui frottait sur la roue arrière du vélo. Et "miracle", le phare avant du vélo s'allumait et donnait une lumière fort utile pour se diriger une fois la nuit tombée.
  • La Terre est une énorme dynamo, qui génère ses courants électriques et donc ses champs magnétiques   Retour au Sommaire.
  • (1) Voici comment la Terre s'y prend pour fabriquer son courant électrique.
    La Terre est une énorme dynamo, qui génère des courants électriques, que nous connaissons sous la dénomination générale de "courants telluriques" (du latin"tellus" relatif au sol, mais aussi à la planète Terre). Ces courants telluriques de différentes sortes sont tout simplement le courant électrique généré par la dynamo constituée par certaines couches internes de la Terre.
    De même que nous avons différentes "sortes" de courant électrique (du fort et du faible par exemple), il y a différents courants telluriques.
    (2) La Terre et les champs magnétiques.
    La Terre suit la loi scientifique commune : comme elle fabrique du courant électrique, elle génère des champs magnétiques. Il y en a de deux sortes :
    - Le grand champ magnétique, qui résulte de l'ensemble des courants électriques, et qui enveloppe la Terre d'un manteau protecteur.
    - Des champs magnétiques locaux, ce qu'on appelle des "anomalies magnétiques", où le champ est nettement plus fort que le champ ambiant de la Terre, ou parfois exceptionnellement bas.
    (3) Le grand champ magnétique de la Terre.
    C'est tout simplement celui qu'on appelle plus communément "le champ magnétique de la Terre", omettant le qualificatif de "grand" car c'est le seul qui soit connu de tous.
    Comme tout champ magnétique, il a un pôle positif (émetteur du champ) et un pôle négatif (récepteur du champ), autrement dit, en parlant de la Terre, un pôle nord et un pôle sud. Positif et négatif n'ont évidemment aucune connotation morale.
    Ce champ s'interpose comme un manteau entre nous et l'Espace, d'où nous viennent des rayonnements très puissants et donc possibles destructeurs de vie. Sans champ magnétique, la vie mourrait rapidement sur Terre, sauf quelques formes particulièrement résistances. Deinococcus radiodurans est une bactérie qui peut survivre dans l'Espace sans aucune protection, pendant au moins 10 jours. Ramenée dans de bonnes conditions, elle met en route son ADN circulaire et... répare tous les dommages de son corps et même de son propre ADN !
  • Le déplacement de certains corps dans un champ magnétique génère un courant électrique   Retour au Sommaire.
  • (1) Le rôle du fer.
    Le fer est le meilleur conducteur naturel de l'électricité. C'est aussi lui qui peut devenir magnétique si on le plonge dans un courant électrique.
    Maintenant, si vous prenez un vieux clou rouillé grand modèle (de ceux qu'on utilisait autrefois pour planter dans des charpentes), et que vous vous promeniez avec lui dans le champ magnétique généré par les câbles à 400.000 volts d'une centrale électrique, vous n'auriez pas à craindre une "châtaigne" ! Une châtaigne, c'est le picotement désagréable résultant du contact avec trop de courant électrique. Sachez que la grosse châtaigne, c'est l'électrocution qui peut être mortelle, elle.
    Votre clou rouillé n'en capterait pas moins un peu de ce courant électrique et n'en génèrerait pas moins sont petit champ magnétique bien à lui, tant que vous le déplaceriez dans le grand champ magnétique généré par ll'électricité présente dans les câbles de la centrale, mais il ne serait détectable que par des instruments très sensibles.
    (2) Notre corps est rempli de fer.
    Notre sang contient de globules rouges. Ce sont de minuscules noyaux de fer qui transportent l'oxygène qui s'y accroche jusqu'à nos cellules qui en ont besoin pour respirer. Nous sommes constamment en mouvement dans le champ magnétique de la Terre, ne serait-ce que parce que notre respiration ne s'interrompt jamais. Pour faire très simple, disons que c'est là en grande partie l'origine du courant électrique qui, par exemple, transporte les ordres du cerveau jusqu'à nos muscles. En bref, notre organisme génère son propre courant électrique et a donc son propre champ magnétique.
    (3) Le "magnétisme spirituel", c'est du magnétisme tout court.
    Le magnétisme spirituel et le magnétisme matériel, c'est le même magnétisme. Il a simplement un usage différent.
    Nous avons déjà abordé un aspect de cette question dans le n°44 de l'hiver 2011, du petit Journal : "Le mot de Viviane : spécial guérisseur". Nous vous avons montré qu'il n'y a aucune différence entre "l'oxygène médical" et "l'oxygène industriel", sauf l'étiquette posée sur l'emballage. C'est comme le "miel à usage médical" vendu bien plus cher que la brave miel (à condition qu'il soit "bio") que vous trouvez à l'épicerie du coin.
  • Courants porteurs   Retour au Sommaire.
  • (1) Courant électrique porteur d'information.
    Imaginez un téléphérique, avec ses nacettes accrochées au gros câble qui les tracte jusqu'en haut de la montagne. Elles peuvent remonter vides ou pleines... de personnes
    Un courant électrique, c'est comme ce gros câble. Un courant porteur, c'est le gros câble avec des nacelles. Les nacelles transportent des gens, le courant électrique transporte des informations.
    Maintenant, nous avons toutes les données de base pour comprendre ce qu'il peut se passer quand quelqu'un demande des conseils à un voyant.
    (2) Le courant d'eau est aussi... porteur d'information.
    Voyez à ce propos les travaux du physiciens Masaru Emoto et ses photos de cristaux d'eau d'une impressionnante beauté.
  • Le couple "voyant-demandeur de conseil"   Retour au Sommaire.
  • (1) La paire formée par ces deux personnes est enveloppée d'un champ magnétique.
    On peut voir cette paire momentanée, formée par le voyant le demandeur de conseil, comme un pôle nord émetteur et un pôle sud récepteur. Leur paire est un peu comme une petite planète dans l'espace. Le champ magnétique qui les enveloppe est protecteur vis-à-vis des énergies trop fortes qui pourraient s'avérer traumatisantes, mais il laisse passer les énergies intéressantes, absorbables par le demandeur de conseils.
    (2) Cette paire peut inclure les personnes extérieures dont on parle au cours de la consultation.
    Quand on demande un conseil concernant une autre personne, le voyant va "chercher" cette personne. Il l'inclut donc dans leur champ magnétique commun. Tout ce qui sera dit, tous les conseils donnés concernant cette nouvelle personne, toute bonne pensée lui parviendra. Il pourra même en prendre conscience, soit par l'intermédiaire d'un rêve ou parce que, tout soudain "cela lui aura sauté aux yeux".
    (3) Et les paroles méchantes, et les mauvaises pensées ?
    Elles voyagent elles aussi. Mais elles ont moins d'influence que les bonnes, pour deux raisons :
    - L'espace par lequel elles passent, comme tout espace, est habité par des particules appelées "cordes" (c'est le dernier cri de la physique fondamentale). En général, les petites cordes vibrent harmonieusement. Parfois, il y en a qui se mettent à chanter faux, alors les autres cordes qui sont autour leur redonnent le "la" (comme un diapason) et elles se remettent à chanter juste. Donc à être harmonieuses, donc à transmettre le positif et à laisser tomber le négatif, qui donc reste auprès de son émetteur... et finit par lui retomber dessus. "Si haut qu'on crache en l'air, cela finit toujours par vous retomber dessus", dit un proverbe.
    - Toute personne a un système immunitaire, autant physique que spirituel. En plus, elle a son propre champ magnétique qui protège sa vie. Donc... les mauvais flux resteront à la porte et comme il faut bien qu'ils aillent quelque part, ils auront tendance à retourner là d'où ils viennent. C'est aussi cela la "justice immanente", celle qui n'est pas rendue par les hommes ou par une instance supérieure, mais qui résulte d'un mécanisme tout-à-fait naturel.
  • Votre aide à distance   Retour au Sommaire.
  • (1) Pensées envers les autres et excroissances du champ magnétique.
    Tout ce que vous ferez dans une séance de voyance aura des effets, transportés par votre champ magnétique jusqu'à la personne à laquelle vous pensez ou dont le voyant est en train de vous parler.
    Un champ magnétique a la forme générale d'une sphère ou d'un ovoïde. Mais il a des excroissances, qui enveloppent les jets de courant électrique que nous envoyons dans l'espace avec nos pensées, comme le soleil avec ses violentes émissions de particules qui connaissent une recrudescence tous les 11 ans.
    (2) Vous pouvez redonner le "la" aux autres...
    Prenez soin de cette information en l'enveloppant de bonnes pensées. Vous vous ferez du bien à vous-même et vous ferez du bien à la personne dont il a été question. En chantant juste, telle une "corde", vous contribuerez à lui redonner le "la" de référence et donc à faire qu'elle se remettre à vibrer en harmonie avec l'univers.
    (3) ... ou si ça va mal, recevoir le "la" d'une source bienveillante.
    Le voyant annonce des difficultés ? Si c'est un bon voyant, il va chercher de l'aide pour vous, d'abord en cherchant avec vous une solution, puis en regardant du côté de votre entourage puis éventuellement auprès de sources spirituelles. Pas d'idée pour recevoir de l'aide ? Envoyez un SOS tous azimuth et il y aura bien quelques petites "cordes" chantantes dans le coin pour vous redonner un coup de main.
    (4) L'aide ne fonctionne que si on n'a pas fermé la porte.
    Votre propre champ magnétique est protecteur vis-à-vis de l'extérieur. Mais si vous lui donnez comme instruction de repousser tous les visiteurs quels qu'ils soient... l'aide restera à votre porte... et ira faire un tour ailleurs.
    Donc, quand tout va mal, faites une toute petite chose positive, ne serait-ce qu'écouter un peu de musique qui vous plaît. Ce tout petit acte positif maintient une petite ouverture par laquelle une aide pourra se glisser jusqu'à votre coeur endolori.
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    Pour en savoir plus, voyez "Le Petit Journal" et sa rubrique "(2) Belline" depuis 2010