Le début correspond à la mise en bocal avec l'alcool (= jour de sa conception) La fin à l’opération de Coagula (= jour de sa naissance). - Et... un peu du corps de votre amie la plante. Reste à vous procurer une grosse poignée (si possible) de la plante fraîche de votre choix. A défaut, utilisez la plante séchée trouvée chez l’herboriste.

"J'ai suivi vos conseils pour ressentir avec quelle plante je pourrais être en harmonie. Et voilà ce qui s'est passé pour moi." L'histoire   « Vous m'aviez conseillé de commencer à travailler avec la Menthe. J'ai donc réalisé un élixir de Menthe que j'ai consciencieusement pris : 5 gouttes dans un verre d'eau tous les jours. J'ai senti que je devenais plus solide de jour en jour, comme si ma peau tendre se tannait peu à peu au soleil, tout en restant souple. Mais auparavant, j'ai fait une expérience étonnante : j'ai flotté auprès de la Menthe dans un contexte étrange, que j'ai envie d'appeler "l'espace subtil". Même si les circonstances peuvent faire penser à un rêve, je suis sûre que c'est autre chose; Je n'avais pas eu à faire l'étape préalable de "sentir la Menthe" puisque je n'ai eu qu'à suivre vos conseils. Bien entendu, j'ai reniflé son odeur, mais je n'ai pas ressenti des choses concernant la Menthe, en tous cas pas avant de commencer l'élixir. Je n'ai commencé à ressentir des choses que quelques jours après avoir installé mon bouquet de Menthe, réduit en petits morceaux, dans de l'alcool de fruits. Une nuit, j'ai rêvé que la Menthe venait s'installer sur mon oreiller pour me regarder dormir. Mon corps dormait, mais moi, je flottais à côté de la Menthe. J'avais l'impression que la Menthe me regardait sans rien dire. Puis je me suis réveillée. Je suis sûre que ce n'est pas qu'un rêve. » Le commentaire de Viviane concernant "spagyrie" et "alchimie"   Même si vous n'avez pas fait l'étape préalable de communication avec la Menthe, elle vous a accepté comme partenaire puisqu'elle vous est apparue. Vous auriez pu n'avoir qu'un remède "spagyrique" si rien ne s'était passé. Au lieu de cela, vous avez fait rencontré la Menthe, et votre préparation a donc bien été un "élixir alchimique végétal". Un remède spagyrique est une préparation qui ne nécessite pas qu'on rencontre l'être plante avec qui on va travailler. Un élixir alchimique végétal est réalisé à deux partenaires : (1) la plante et (2) vous, l'être humain. Il y a donc un "être plante" et un "être humain" qui collaborent à l'élaboration d'un produit. Cet élixir, ce produit va servir d'intermédiaire entre vous deux. C'est un peu comme un fil du téléphone, avec un système de traduction intégré dans les deux sens. Pour faire simple, on pourrait dire que le remède spagyrique soigne le corps tandis que l'élixir soigne l'être. Dans ce second cas, une fois qu'on a fait quelques prises de conscience, le corps se répare beaucoup mieux puisque l'esprit est là pour le guider. Le commentaire de Viviane concernant votre expérience de flottement et ce que vous appelez "l'espace subtil"   Vous avez raison de penser que ce qui vous est arrivé n'est pas un rêve ordinaire. Ce n'est même pas un rêve du tout, c'est une expérience réelle. Vous êtes sortie de votre corps, la Menthe aussi. Et vous vous êtes rencontrées toutes les deux sous votre forme subtile. Qu'est-ce qu'une forme subtile ? Nous avons une structure tripartite quand nous avons un corps physique et bipartite quand nous n'avons plus de corps physique (= nous sommes morts). - Nous sommes tous des êtres (précisons pour faire très clair : "des êtres spirituels"). - Nous avons un corps subtil, fait surtout d'énergie. C'est un peu comme les logiciels d'un ordinateur et de toutes les informations qui s'y trouvent sous forme électromagnétique. - Nous avons (pour une durée limitée) un corps physique. Quand nous le perdons, cela s'appelle "mourir". Quand nous en prenons un autre, cela s'appelle "s'incarner" ou "naître". Pour continuer la comparaison avec un ordinateur, le corps physique est la machine. Le rêve - enfin les rêves importants - sont les analogues de la mort, mais sans perte du corps physique. Le corps dort profondément et nous en sortons. Dans votre cas, vous étiez deux à sortir de vos enveloppes physiques, la Menthe et vous. Vous vous êtes donc rencontrées parce que vous aviez envie - toutes les deux - de faire plus ample connaissance.

Ce n'est pas que dans les temps anciens que l'alchimie s'est fait mal voir par le pouvoir en place. Même de nos jours, elle provoque la méfiance. Sans doute à juste titre... mais pas pour les raisons que les empêcheurs de liberté pourraient penser. L'alchimie est une voie vers la liberté car elle apprend à communiquer avec des êtres qui ne sont pas humains. Elle aide aussi à se soigner. Mais avant d'arriver à ce résultat, il faut "entrer en alchimie", après avoir pris certaines précautions : celles qu'on prend pour survivre dans un monde très dangereux. C'est moins le monde de l'alchimie qui est dangereux que ceux qui s'opposent à l'auto libération des gens. • Vous devez bien le soupçonner : la Troisième Guerre Mondiale est en cours. Elle ne tue pas à coups de canon mais... ... à grandes giclées de drogue et de désinformation pour ce qui est de démolir les populations. ... avec une stratégie économique bien au point pour rendre les gens dépendants. • Les apparences de paix ne sont là que pour mieux piéger. • Comment y survivre, autrement qu'en "con"-"sommateurs" esclaves ? Voici quelques suggestions politiquement non conformes. Faire de l'alchimie, c'est aussi prendre sa vie en main   Faire de l'alchimie ne se borne pas à mijoter des plantes dans des casseroles. En amont, on doit prendre sa vie en main. Toute voie spirituelle sérieuse entraîne un nettoyage général. On commence par sortir le désordre des placards qui devient ainsi apparent. Ce qui parait décourageant est - en fait - le commencement du renouveau. C'est parce qu'on ne dispose pas des conseils nécessaires pour ranger les choses dans le bon ordre qu'on se sent découragé. Au niveau de l'organisation de la vie, cela s'appelle de la stratégie, comme dans les traités militaires. La stratégie, est la science de l'organisation pour atteindre un but (guerrier ou pas). Voici donc de quoi mettre de la stratégie dans votre vie en commençant par un état des lieux des regards qui sont portés sur l'alchimie. L'alchimie requiert du courage   - Hé oui, l'alchimie fait peur. Nous avons refusé d'y croire pendant des années - après tout, nous ne sommes pas des paranoïaques - mais il a fallu se rendre à l'évidence : toute voie de libération sérieuse accumule les obstacles - et ceux qui la suivent attirent sur leur tête les ennuis, du moins dans un premier temps. Ensuite, les choses s'arrangent et la vie devient réellement plus belle et plus claire. Pour l'alchimie, ce fut le pompon. Les alchimistes ont échappé à l'appellation de secte tout simplement parce que l'alchimie se pratique de manière individuelle. Et que ceux qu'on a un peu trop emmerdé sont allés au Canada sans laisser d'adresse. Pour les autres, l'ennemi était plus sournois et il s'appelle doute, découragement, abandon... Heureusement, quelques uns y ont surmonté ces obstacles, en tous cas suffisamment pour vous tendre la main avec leurs conseils. - Les élixirs floraux du Dr Bach. Edward Bach, ce médecin anglais qui a légué les merveilleux "élixirs de Bach" a vu son travail... disons... allégé de tout son côté mystique. Le Dr Bach ne s'est pas contenté de mettre au point des substances guérisseuses : il parlait aux arbres et aux fleurs qui lui donnaient des conseils. C'était une attitude parfaitement alchimique, qui repose sur l'alliance entre un être humain et un être non-humain pour produire une substance provoquant des transformations chez les deux partenaires. De l'alchimie de Bach, il n'est resté que la spagyrie, la préparation de substances végétales par l'être humain. Loin de moi l'idée de critiquer ces excellents remèdes. Nous avons de la chance qu'ils existent. Le Dr Bach est mort jeune : à peine plus de 50 ans. Certains obstacles ont dû lui ronger la vie. - "Le Kaléidoscope". L'éditrice Irène Hillel-Erlanger est morte empoisonnée pour avoir publié, en 1915 "Le Kaléidoscope", un traité d'alchimie introuvable aujourd'hui. Très hermétique, disons quasiment illisible, il n'en a pas moins fait peur à ceux qui redoutent la lumière. - "Alchimie des Plantes" ? Chut ! Et maintenant Viviane Le Moullec avec son livre : "Alchimie des Plantes", ce livre, publié en 1997, a rencontré une série d'obstacles assez incompréhensibles, parfois à la limite de gags. Constatant que le mot "alchimie" agissait comme un répulsif sur les libraires et les distributeurs, le titre (mais pas le contenu) en fut changé. Ce fut "Nos amies les plantes", sorti en mars 2001. Les ventes se portent mieux, merci ! Viviane Le Moullec va bien aussi, ainsi que son éditrice. Merci ! - Avec Internet, on ne peut plus mettre l'embargo sur les infos. Forts de cette expérience, nous avons décidé de créer le site PiStar dès février 2001. Il a été opérationnel début avril. Allions-nous appeler le site Alchimie ? Oh non ! Nous avons préféré jouer la prudence et appeler notre site PiStar (Pi comme notre planète la Terre et Star comme les étoiles). Nous sommes restés discrets, nous avons préféré le bouche à oreille. C'est promis, nous allons tâcher de survivre longtemps. Et si nous devons aller faire un tour ailleurs, nous vous laisserons le site PiStar, de manière à ce que l'alchimie (enfin cette partie précise de l'alchimie qui consiste à réaliser des élixirs alchimiques végétaux) soit librement accessible au plus grand nombre possible de personnes. - La grande leçon de stratégie a été : ne jamais permettre à quelqu'un de faire pression sur nous. C'est à ce prix-là que nous pouvons survivre. Et comme vous avez l'intention de devenir un alchimiste, vous aussi, nous partageons avec vous nos solutions de survie. Nous sommes en guerre, ne vous y trompez pas...   C'est la guerre de la malveillance contre la bienveillance. Comment un malveillant s'y prend-il pour opprimer ? Il trouve un endroit où appuyer, là où ça fait suffisamment mal pour que la victime consente à devenir son esclave. Le maître-chanteur le plus efficace est - bien entendu - celui qui est déguisé en ami ou allié. Les ennemis déclarés portent leur étiquette et on s'en méfie. Les prétendus amis, qui sourient en face et poignardent dans le dos sont autrement à redouter. Quoi qu'il en soit, le meilleur moyen de ne pas attirer ces termites qui rongent de l'intérieur est de ne rien leur donner à manger, donc de ne jamais tenter un oppresseur en lui donnant l'idée d'un chantage. Comment se mettre à l'abri de tous les chantages ?   - N'empruntez jamais d'argent, même pas à un banquier. La seule exception parfois (à étudier de près) : emprunter partiellement (jamais la totalité) pour acheter son logement. - Ne prêtez jamais d'argent, même à un ami ou à un parent. L'argent mal compris pourrit les rapports entre les gens. - Ne vous portez jamais caution solidaire. Et quand nous vous disons jamais, cela veut dire jamais en lettre de 6m de haut. C'est le pire des pièges mis au point par les banquiers. - Dès que vous êtes majeur, faites en sorte de ne jamais dépendre de quelqu'un pour quoi que ce soit. Gagnez votre propre argent pour ne pas devoir acheter votre survie avec des actes qui vous déshonoreraient. Il ne s'agit pas de respect de la légalité mais de pouvoir se regarder chaque jour dans le miroir sans rougir. - Ne demandez jamais le secret à quelqu'un. Si cela lui pèse trop, il parlera, même parfois sans en avoir conscience. Vous pouvez demander la discrétion mais, même alors, prévoyez ce qui pourrait se passer si cette discrétion n'était pas tenue. Les deux bases de l'esclavage : le mensonge et le secret   - Les trois premiers points concernant l'argent reposent sur un mensonge : vous faites comme si vous aviez de l'argent mais vous n'en avez pas. Parier sur l'avenir est un mensonge : vous ne pouvez dire "je vous garantis, ma tête à couper, que je vous rembourserai". Le futur reste un rêve tant qu'il n'est pas transformé en temps présent. Alors veillez à ne pas en faire un cauchemar. - Le quatrième point repose sur un échange incorrect : si vous dépendez de quelqu'un c'est que vous êtes incapable d'assurer votre propre survie. Vous prétendez vous dévouer à votre mari (votre femme) mais vous êtes tout simplement en train d'acheter sournoisement ses faveurs. Tout autre est l'échange librement consenti entre deux partenaires ou époux car tous deux savent bien que, si leur rapport tournait mal, ils pourraient se séparer et survivre tout de même. Alors ne devenez pas le bourreau de vous-même en acceptant qu'une menace soit suspendue sur votre liberté. - Le cinquième point traite du secret. Si quelqu'un menace de dévoiler un secret que vous lui avez confié, prenez les devants et révélez le secret, cela vous protégera du chantage en question. Avec PiStar, nous avons mis nos connaissances en alchimie sur Internet. Plus de secret ! Plus de manipulation pour faire disparaître nos connaissances non plus. Comment vous en sortir ?   - Mettez en ordre vos affaires financières en vous basant sur un principe très simple : le riche est celui qui dépense moins d'argent qu'il n'en gagne, le pauvre est celui qui en dépense plus. Si nécessaire, serrez-vous la ceinture momentanément si vous voulez transformer votre vie. Dites-vous bien que faire de l'alchimie requiert une attitude correcte face aux lois de la vie. - Ne vous mettez plus jamais dans la position de victime. Accuser les autres d'être méchant cache une triste vérité : le plus méchant c'est celui qui s'opprime lui-même en croyant que ce sont les autres qui sont responsables de ses malheurs. - Ne permettez plus jamais au secret de jeter une ombre sur votre vie. Le secret, c'est l'ombre ; la réalisation spirituelle, c'est la lumière. Tirez-en vous-même toutes les conséquences. Hé oui ! Les marchands de secrets ont de grosses parts d'ombre... Alchimie spéculative = mettre de l'éthique dans sa vie - Alchimie pratique = alchimie aux casseroles   - Tout ce qui vient de vous être expliqué sont des principes très basiques pour mettre de l'ordre dans sa vie. Si vous voulez réussir votre alchimie, vous devez commencer par mettre de l'ordre dans votre vie... sinon la pratique de l'alchimie risque de s'en charger. - Vous pouvez - bien sûr - faire les deux simultanément : la remise en ordre de votre vie et votre création d'un élixir. Cela correspond aux deux intitulés un peu abstraits d'autrefois : (intitulé 1) Alchimie spéculative ou alchimie philosophique = remise en ordre éthique de sa propre vie. (intitulé 2) Alchimie pratique = "alchimie aux casseroles", par exemple, le fait de réaliser des élixirs alchimiques végétaux. Bonne route ! Beaux élixirs !

Au cours de l'année 2011, nous avons beaucoup parlé du camphre dans "Le Petit Journal". Alors en quoi est-il aussi important ? Le camphre naturel, un protecteur millénaire   Le camphre - naturel bien sûr - a toujours été une précieuse source de protection contre toutes sortes de maladies. Il aide aussi dans quantité d'autres domaines. En Extrême-Orient, on range les soies précieuses dans des coffres en bois de camphrier, non seulement imputrescibles, mais capable de défendre leur contenu contre toutes sortes d'insectes. En Inde, le camphre sert souvent d'encens et de protection contre toutes sortes d'inflammations. Or, nous vivons dans un monde en état "inflammatoire" : nous sommes agités par une fièvre perpétuelle et notre planète n'est pas en reste avec le réchauffement climatique. Nous avons bien besoin d'une substance qui agisse autant sur le plan physique que sur le plan spirituel afin de contrebalancer les dangereux feux qui nous assaillent de toute part. Quels sont les feux qui nous menacent ?   Cette liste ne prétend pas - hélas - être exhaustive. (1) Pollutions chimiques. Nous vivons dans un monde totalement pollué par les sources suivantes. - Les résidus de l'industrie. Le mercure utilisé dans l'extraction de l'or est rejeté dans la nature. L'eau du Bengladesh est pour moitié polluée par l'arsenic... - Les additifs alimentaires. Maintenant, toute nourriture sous blister est sous "atmosphère protectrice", une variante des sulfites. Ces maudits sulfites sont partout, même dans le vin bio. Seuls quelques viticulteurs revendiquent fièrement de ne pas en ajouter dans le vin. - Les médicaments qui tuent trop souvent. Inutile d'ajouter un commentaire. (2) Pollutions biologiques. Ces pollutions, c'est nous qui les avons fabriquées. Notre monde humain est très largement occupé par des microbes et virus qui ne nous veulent plus du bien : nous les avons trop méprisés et - disons-le - emmerdés. Alors, non seulement ils résistent, mais en plus ont la ferme intention de nous mener la vie dure. (3) Radioactivité. Tchernobyl en 1986, Fukushima en 2011. Nous sommes tous irradiés. (4) Rayonnements cosmiques. Les trous dans la couche d'ozone apparaissent, semblent rétrécir (à moins que ce ne soit de la propagande d'Etat), puis se manifestent à nouveau... en pire. Nous recevons donc en direct des radiations qui feraient passer la radioactivité pour un hors d'oeuvre en attendant le plat principal. Heureusement pour nous que les trous ne sont pas trop gros, enfin pas encore. Le camphre accompagne le corps dans sa lutte "enflammée"   (1) Quand le corps est attaqué, il réagit en deux fois : par le chaud et par le froid. Lorsque le corps est attaqué, il contre-attaque. Dans une première phase, le corps réagit par la fièvre, dans une seconde phase, il tombe en apathie et se laisse mourir. Tant qu'il y a de la fièvre, on a encore des capacités de réaction. Mais trop de fièvre épuise. Le feu est donc nécessaire mais pas suffisant. De plus, il doit être contenu dans des limites qui ne portent pas atteinte à l'équilibre général du corps comme de l'esprit. Sur le plan spirituel, l'enthousiasme est un feu. Etre enthousiaste est bien, l'être aveuglément est stupide. La suite - par déception - c'est de tomber dans le froid de la dépression. Le corps utilise la fièvre pour détruire des toxines en les fragmentant de telle manière qu'elles puissent être éliminées relativement sans danger. Elle tue au passage certains microbes qui se sont pris "la grosse tête" : au lieu de se contenter de leur territoire, ils se mettent à proliférer. Comme ils ont tout envahi, ils menacent l'organisme qu'ils hébergent, qui s'en débarrasse en leur imposant une chaleur mortelle pour eux. (2) Le rôle rafraîchissant du camphre. Le camphre - via les plantes camphrées - sont là pour réguler l'augmentation de chaleur du corps et aider l'organisme à se rafraîchir entre deux poussées de fièvre afin de se débarrasser de ce qui ne lui convient pas. L'élimination se produit donc en phase de rafraîchissement et c'est le camphre qui aide l'organisme à éliminer ce qui l'encombre. Le camphre et le dieu Shiva   Certaines légendes indiennes racontent que le dieu Shiva a avalé le poison du monde et l'a transmuté dans sa gorge, laquelle en a gardé une teinte bleutée. Cela peut être l'indice d'une relation entre le chakra de la gorge, la couleur bleue et le camphre. Notons aussi que la vapeur d'iode a une teinte bleu violet et que c'est l'iode qui régule la thyroïde. Il se peut donc qu'un rapport étroit existe entre l'iode et le camphre. On connaît l'utilité de l'iode dans la réparation des cellules endomamgées par la radioactivité. Mais on méconnaît encore l'utilité du camphre. L'élixir de camphrier : Rox et Lud du Rhin s'en occupent avec Serge d'Alsace   (1) L'expérience de trois alchimistes. Les petits camphriers de Rox et de Lud du Rhin sont en train de pousser gentiment. Vous en avez vu une photo tout en haut de cette page. Avec Serge d'Alsace, ils ont commencé leur travail avec les feuilles confiées à eux par les petits arbres : 325g pour commencer. Disposant de matériel de laboratoire, ils ont décidé de pratiquer une distillation afin de vérifier ce qu'enseignent certains manuscrits anciens. Voici ce qu'ils en disent. « Nous avons donc soumis à la distillation ce peu de matière divine, dans une bulle de verre, et nous avons obtenu en premier une huile essentielle de camphre fort aromatique, en deuxième un sublimé de camphre cristallin qui s’est attaché au sommet de l’appareil distillatoire en verre, ce qui nous à permis de suivre et de filmer l’opération en tout transparence. Nous avons pu vérifier les dires des Anciens : comme eux, nous avons obtenu une huile essentielle camphrée, puis du camphre sous forme de sublimé cristallin blanc comme neige. Le plus étonnant est la facilité avec laquelle nous avons obtenu ce camphre, ce qui éveille en nous bien des questions concernant l’utilité de la synthèse, à part pour la production de masse. Plus étonnant encore, les effluves de ce camphre naturel même résiduel restent collés à la verrerie de laboratoire. Ils sont en mesure d’enbaumer toute une pièce et de provoquer un sommeil naturel. On comprend pourquoi les Anciens ont assimilé ce camphre à de l’éther.» (2) Les commentaires de Viviane. Vous avez obtenu une précieuse huile essentielle de camphre, avec, en plus, de précieux cristaux de "neige de camphre". Il y a un demi siècle, on soignait encore les maladies de coeur avec de la précieuse huile camphée. Aujourd'hui, on en trouve rarement, car on ne s'en sert plus que pour détendre les muscles au cours de massages. Les maladies de coeur sont aussi les maladies du coeur émotionnel. Le Camphre aidait les gens à prendre un peu de distance pour voir les choses clairement et porter remède à ce qui leur causait du chagrin. Vous vous demandez comment il se fait que ce merveilleux Camphre ne soit pas accessible à tous et qu'on en trouve surtout des copies chimiques ? Les méchants qui nous gouvernent n'y ont aucun intérêt : en détruisant méthodiquement le coeur de l'homme (émotionnel et physique), ils s'assurent d'avoir des robots à leur solde. L'autre versant de leur malfaisance est de créer des circonstances où le sommeil est complètement perturbé. Les gens n'ont plus accès au "Monde du Rêve" (le fait de sortir de son corps et d'aller se promener pendant que le corps régénère ses forces). Enfermés dans ce qui devient une prison de chair, les gens perdent le goût de la vie. On leur promet des lendemains qui chantent et des paradis dans l'Au-delà... mais qui ne sait pas vivre avec un corps ne vivra pas mieux sans ce corps. Du vrai camphre a été distillé chez nous, en France. Son action ne va pas se borner aux trois personnes qui ont réalisé ce travail alchimique. Le Camphre a une présence si forte qu'elle passe au travers de toutes les barrières... comme les radiations nucléaires, mais selon le versant de la VIE. Vous avez l'image des petits camphriers en haut de cette page. Puisse-t-elle vous servir à entrer en rapport avec l'Esprit du Camphre afin qu'il vous guide pour rencontrer les amis(es) de sa famille : les "plantes à camphre". (3) Vous n'avez pas de camphrier ? Vous n'avez pas de matériel de laboratoire ? Et alors ? Vous savez faire un élixir alchimique ! Alors, il ne vous reste plus qu'à choisir une plante à camphre parmi celles qui sont énumérées ci-après et à réaliser avec elle votre propre élixir. Par quoi remplacer le camphrier quand on n'a pas un petit arbre dans sa serre ?   Il existe toute une série de plantes à camphre. Nous en avons parlé en détail au cours des journaux de l'année 2011. Rappelons brièvement celles que nous avons citées. Rappelons que ce sont celles-là qu'il faut se procurer et non pas les voisines qui pourraient bien ne contenir aucun camphre. Ainsi, parmi les quatre lavandes disponibles, il y en a une qui ne contient pas de camphre. (1) Les lavandes. La "lavande vraie" ou "lavande de population" ou "lavande fine" n'est pas une lavande à camphre. Les autres, si. - LAVANDE ASPIC (Lavandula latifolia spica) : bonne pour les brûlures, les mauvaises plaies, les maladies de peau, les mycoses, les venins, les rhumatismes, les dépressions. - LAVANDIN SUPER (Lavandula x burnatii ct super) : bonne pour les crampes, les états dépressifs, les allergies, les dermatoses. - LAVANDE PAPILLON (Lavande stoechas), la lavande avec des pétales qui font de petits plumets. Peu utilisée, mais bonne source de camphre. (2) Quatre autres plantes aromatiques. - ACHILLÉE (Achillea millefolium) : autrefois très employée pour les blessures de guerre. - CORIANDRE (Coriandrum sativum) : bonne pour la digestion, les rhumatismes, les infections virales et bactériennes, les troubles du sommeil. - ROMARIN ct CINEOLE (Rosmarinus officinalis ct cinéole) - (pas le romarin à verbénone - le tout petit romarin gris de la garrigue). Bon pour les sinusites, les écoulements bronchiques, la congestion pulmonaire + les cystites et les candidoses. + la fatigue chronique. - SAUGE À FEUILLES DE LAVANDE (Salvia lavandulifolia), cette sauge-là et pas les autres. La sauge est bonne pour les dames. Elixirs à base de camphre   (1) Pas de mélanges au niveau de l'élixir. Certains se sont demandé s'ils pouvaient faire un mélange de toutes ces plantes et en tirer un élixir. A mon sens, ce n'est pas une bonne idée. Un élixir doit être réalisé avec une seule plante. N'oubliez pas qu'au travers de l'élixir, c'est une plante que vous rencontrez, pas une foule. (2) Collection d'élixirs. Vous pouvez - bien évidemment - réaliser toute une collection d'élixirs à forte composante camphrée, en utilisant ce que chaque plante de la liste ci-dessus voudra bien vous donner. Réalisez votre propre élixir du Suédois   (1) Votre "élixir virtuel". Vous devez tout d'abord réaliser vos élixirs avec des plantes à camphre. Ensuite, selon vos besoins, vous prendrez quelques gouttes de l'une ou de l'autre plante à camphre. Cet élixir est "virtuel", car il n'y a pas de mélange physique des différents élixirs. En revanche, rien ne vous empêche de donner à votre corps deux gouttes du n°1 puis une heure plus tard : 3 gouttes du n°2, etc. Votre corps aura fait l'expérience des différentes plantes dans un temps très court et il se produira une association au niveau de l'aide que les plantes pourront vous apporter. N'abusez pas des quantités ! 4 gouttes de plante à camphre par jour me semble suffisant. Je conçois que ce soit un peu long à réaliser quand on est pressé de se faire aider par les plantes ! Alors, il y a la formule suivante, qui fait appel aux huiles essentielles. (2) Votre propre "Elixir du Suédois". Les plantes à camphre semblent être le dénominateur commun de celles qui composent principalement cette potion réputée. Si donc vous voulez composer votre propre "Elixir du Suédois", qui peut être réalisé à partir d'huiles essentielles, vous pouvez composer votre propre assortiment de plantes, avec toutes celles qui sont citées ou avec une partie d'entre elles. Les quantités ? C'est à vous de faire des essais. C'est votre nez qui doit vous guider, en choisissant une plante principale à laquelle vous ajouterez progressivement les autres, en plus petite quantité. Diluées dans de l'alcool de fruits de qualité, ces huiles essentielles constitueront un cordial revigorant. Mélangées à de l'huile fine (huile de pépin de raisin ou de noisette), vous pourrez vous en servir pour masser votre corps. Cette dernière préparation est à conserver au frais, dans votre réfrigérateur, afin que les huiles délicates conservent toute leur valeur. (3) Simple et efficace. Certes, la formule qui vous est suggérée est plus simple que celle qui figure habituellement sur les flacons du commerce, mais elle est facile à réaliser, selon une formule qui vous sera adaptée au moment où vous le réaliserez. C'est le but poursuivi car vous pouvez en avoir besoin rapidement.

REMARQUE. Sur internet, nous avons trouvé cette réflexion : « Le livre "Alchimie des plantes" est un ouvrage intéressant, mais... ce sont tout simplement des recettes pour faire une préparation proche des remèdes courants en herboristerie. Il n'y a ni distillation, ni fabrication de la pierre... » RÉPONSE LACONIQUE. Réaliser un élixir alchimique végétal est la première étape de l'alchimie végétale. Celui qui ne réussit pas à réaliser un élixir n'a pas à se préoccuper de la suite ! Pas si simple... de réussir un élixir alchimique végétal   Contrairement à ce que pourrait impliquer la réflexion ci-dessus, la réalisation d'élixirs n'est pas si simple que cela semble au premier abord. C'est même plus compliqué que l'alchimie des occultistes du XIX° siècle, qui remplaçaient le contact avec l'être-plante par des techniques sophistiquées pour l'emprisonner... au cas où il lui prendrait l'idée de n'être pas d'accord avec le sort que veut lui faire subir celui qui dit qu'il fait de l'alchimie. Pour mieux comprendre ce dont il s'agit, voyez dans le Petit Journal de l'hiver 2012 ( numéro 48), ce qu’un de nos lecteurs raconte concernant un rituel du XIX° siècle, destiné à empêcher la plante de s'enfuir. Il s'agit évidemment de l'être spirituel qu'est la plante, pas de son corps physique, attaché à la terre par ses racines. Le plus difficile, pour beaucoup de gens, est la première étape, qui consiste à établir le contact   (1) L'alchimie nécessite une rencontre avec la plante. Zapper cette étape conduit à faire au mieux de la spagyrie ou simplement de la pharmacie. Ce n'est pas condamner de telles réalisations, c'est simplement dire ce qu'il en est. Rappelons que les préparations à base de plantes peuvent se faire à trois niveaux : — (a) Le PHYSIQUE est seulement en rapport avec l'HERBORISTERIE et la pharmacie. — (b) Le MENTAL et les émotions sont en rapport avec la SPAGYRIE. Au niveau de la préparation, cela vient s'ajouter au niveau physique précédent (pharmacie ou herboristerie). — (c) L'ÊTRE est en rapport avec l'ALCHIMIE. Ce niveau repose sur la rencontre entre deux personnes, la personne humaine et la personne végétale. Ce niveau vient s'ajouter aux deux précédents. Cela implique que l'alchimiste est présent (a) physiquement, (b) émotionnellement et intellectuellement et enfin (c) au niveau affectueux de son coeur, ce qui lui permet une vraie rencontre avec la plante. (2) Un dialogue pour aider ceux qui commencent. Commencer par le dialogue est même si délicat que bien des gens aimeraient faire de l'alchimie en sautant par-dessus cette étape. Quand ils sont conscient de la difficulté et restent honnêtes, ils posent des questions à PiStar et, à chaque fois, ils reçoivent une réponse sous forme de suggestion, du genre : « Vous nous avez parlé du Basilic qui se trouvait dans le jardin de votre soeur. Avez-vous songé à interroger son Basilic - après avoir demandé la permission à votre soeur - plutôt que de vous acharner en vain à faire pousser votre Basilic dans un petit pot ?». Un dialogue s'instaure et c'est de cette manière que la meilleure idée - réponse personnelle à un cas tout aussi personnel - finit par apparaître. Pour les amateurs de choses compliquées, cela semble "trop facile". Je crois que l'honnête et toute "simple" alchimie des élixirs n'est tout simplement pas pour eux. Un exposé clair et honnête des procédés de fabrication   (1) Pas de secrets occultes. Ce qui déconcerte certains, habitués aux "secrets occultes", est que toutes les étapes sont aussi minutieusement expliquées que n'importe quel procédé de laboratoire. Et pour cause : ces procédés ont été exhumés par des scientifiques honnêtes, doublés d'enseignants et de journalistes désireux avant tout de transmettre (autant que faire se peut), sans erreur ni imprécision, tout ce qu'ils avaient mis au point après de nombreux essais, après aussi un certain nombre d'erreurs et... pas mal de débris à balayer. C'est ce que l'on appelle "la méthode des essais et des erreurs". Ne croyez pas que tout était évident dans les vieux textes qui ont été consultés. Il y a eu de nombreux obstacles à surmonter : - la barrière de la langue, - les inexactitudes introduites par les copistes, - les erreurs volontaires (à ce qu'il parait) des auteurs eux-mêmes, destinées à protéger le patrimoine, - enfin ce qui n'est pas dit, tout simplement parce que c'était évident pour les gens de cette époque-là. (2) Pas de culte du secret. Nous sommes des gens discrets, pas des gens secrets. Nous n'avons pas le culte du secret, car c'est ainsi que disparaissent des savoir-faire si utiles pour l'humanité. Lors de sa première parution, le livre "Alchimie des plantes" a connu quelques difficultés de diffusion "inexplicables". Les choses se sont rapidement arrangées dès que l'essentiel des informations a été mis sur internet. La raison semble être que cela ne servait plus à rien d'embêter le livre puisque personne ne pouvait museler l'information qui circulait sur le "net". En revanche, nous sommes des gens discrets. Ceux qui se confient à nous en racontant quelques détails personnels sont assurés que rien ne transpirera à l'extérieur de notre fait. (3) Les règles scientifiques du laboratoire ont été respectées. - ASPECT MATÉRIEL. Le procédé de fabrication d'un élixir alchimique végétal est finalement très simple (en tout cas pour un habitué du travail en laboratoire), une fois qu'on dispose de tous les renseignements pour suivre pas à pas les instructions qui vous sont données. Il vaut mieux les respecter sans trop de fantaisies si on veut parvenir au résultat escompté. Ce sont des règles simples, dites "de laboratoire", adaptées à ce que l'on trouve généralement comme matériel dans une cuisine. - ASPECT SPIRITUEL (OU RELATIONNEL). L'autre aspect de la réalisation d'un élixir est spirituel : c'est la rencontre entre deux personnes, l'une humaine et l'autre végétale. C'est bien sûr, l'aspect le plus délicat. Si donc vous êtes débutant, vous aurez intérêt à respecter les règles matérielles dites "de laboratoire", tout simplement pour ne pas rajouter de la difficulté en innovant. - INNOVATION. Ce n'est que, quand vous aurez un peu d'expérience, que vous pourrez innover sans risquer de perdre votre élixir en cours de route. Tout scientifique digne de ce nom commence par respecter les procédures qu'on lui a transmises. Il vérifie si elles fonctionnent et ne se gêne pas pour protester si cela ne fonctionne pas. Si cela fonctionne, il suit soigneusement toutes les instructions et finit par obtenir le résultat indiqué. Ce n'est que, quand il a un peu d'expérience, qu'il commence à essayer diverses idées qui lui viennent à l'esprit. Son expérience lui permettra, éventuellement , de rattraper une mauvaise idée ou de prendre un échec avec philosophie. (4) L'aventure d'un petit groupe... J'ai été le rédacteur du livre "Alchimie des plantes" (aussi connu sous le titre de "Nos amies les plantes" (voir la page "Livres" sur la page d'accueil du site), mais je me suis appuyée sur les recherches des amis et les miennes propres évidemment. Tout le monde a été content d'exhumer ce savoir-faire afin de le transmettre avec le maximum de clarté. Ensuite, la plupart des participants ont filé ailleurs qu'en France ou dans un monde qu'on dit meilleur. Moi, je suis restée et... je suis là, avec mon ordinateur et ma connexion internet... à transmettre ce patrimoine à qui lève le doigt pour en faire quelque chose. Rassurez-vous, je ne suis pas seule, mais c'est moi qui coordonne le tout. (5) ... qui se poursuit jour après jour ! Le site PiStar est régulièrement alimenté par les questions des lecteurs et par les réponses qui leur ont été données. C'est très important de disposer de sufisamment de compte-rendus d'expérience. C'est ce côté pratique que la petite équipe s'occupe de transmettre. Un jour, nous ne serons plus là, mais cette masse de données, elle, restera là pour aider les chercheurs en la matière à toujours mieux progresser. Pas de prières ? Pas de référence à l'astrologie, à la numérologie ? Etc ???   Hé non ! C'est quasiment une version "laïque" de l'alchimie que nous vous transmettons. Pour faire référence à un débat qui surchauffe l'espace public français en ce moment, nous considérons : - que notre transmission est "laïque" = sans référence à une religion particulière, - et qu'elle est spirituelle en plus d'être scientifique, dans la mesure où la plante est traitée comme une personne. Nous estimons que la religion est une affaire privée et, si vous avez envie d'enrichir votre expérience alchimique avec votre vécu religieux, c'est strictement votre affaire personnelle. Pas de référence non plus à l'astrologie. Pour deux raisons : pour tenir compte d'événements planétaires d'une façon fine, il faut bien connaître l'astrologie. Or nous estimons que la réalisation d'un élixir peut être menée à bien sans y ajouter des influences astrales. Cependant, ce peut être un "plus", réservé aux personnes qui connaissent bien cette technique qu'est l'astrologie. C'est comme pour la religion, ce ne peut être que votre supplément personnel. En bref !   Aucun de nous ne prétend transmettre l'intégralité de l'alchimie et encore moins des procédés sophistiqués. C'est comme pour les bons petits plats : nous avons testé avant de vous donner la recette de cuisine. Nous avons simplement voulu que le plus grand nombre possible de personnes pleines de bonne volonté puisse goûter à la première étape de l'alchimie, celle des élixirs alchimiques végétaux. Et quand on travaille sérieusement la question, il y en a pour des années et... tout autant de réalisations spirituelles stables que de beaux moments et de grands plaisirs personnels.

On peut avoir besoin rapidement de sources fiables de camphre et tout le monde n'a pas des petits camphriers dans ses serres. Des huiles essentielles de plantes exotiques, à condition qu'elle soient chémotypées (dont la formule chimique est précisée afin de ne pas les confondre avec des essences voisines) peuvent constituer une réponse adéquate à un besoin rapide. Voici un état des lieux. En quelques dizaines d'années, les ressources en huiles essentielles ont augmenté et se sont diversifiées   Quand on compare ce qu'il se faisait en aromathérapie il y a 30 ou 40 ans avec les ressources végétales actuelles, on mesure l'importance que l'aromathérapie a pris dans nos habitudes thérapeutiques. L'essentiel de la différence tient à ce que des plantes qui se bornaient à soigner les populations locales sont maintenant mises à la disposition des Occidentaux par les laboratoires distillateurs, dont beaucoup certifient une origine "bio" ou "sauvage". En plus, et c'est tant mieux, ces huiles essentielles sont "chémotypées". Cela veut dire que sont fournies des indications précises sur leur composition (chémotype). L'abréviation “ct”, suivie d'un composant, signifie que le chémotype (ct) mentionne le composant principal, ce qui permet de distinguer deux plantes proches. Ainsi, nous vous avons déjà parlé du Romarin comme plante à camphre, en précisant bien que le romarin "à camphre" était le "Romarin ct cinéole" (plus exactement "Rosmarinus officinalis ct cinéole") et non celui à verbenone, qui ne contient que peu de camphre. Ce n'est pas notre habitude de recommander de s'adresser à des plantes exotiques... quoi que...   ... quoi que nous l'ayons déjà fait ! Ainsi, concernant la Verveine, Viviane a travaillé avec la Verveine exotique (originaire du Chili) au lieu de la Verveine Officinale (notre plante sauvage commune dans les prés), tout simplement parce que la belle verte se prélassait dans le jardin de sa mère et que cette dame végétale avait envie de montrer à quel point elle s'était adaptée dans nos régions. Verveine officinale a fini par trouver un ami : Manu, qui a entrepris de travailler avec elle. Nous vous en parlons dans Le Petit Journal N°46 de l'été 2012. Qui est QINNAMON ?   Le Cinnamome est cité dès l'Antiquité comme parfum. Il est même cité trois fois dans l'Ancien Testament mais il semble que "Qinnamon" soit Cinnamomum zeilanica, autrement dit la cannelle, un arbre voisin du camphrier. Ce n'est pas entièrement établi. Il reste une petite chance qu'il s'agisse du vrai camphre, en provenance de l'Inde et sans doute de plus loin, comme la Chine. Le Japon, lui, conservait sa ressource pour lui. Le camphrier se trouve (presque) partout dans le monde.   (1) Le Camphrier, un grand voyageur. Le camphrier est un grand voyageur. Il est originaire du Japon, de Taïwan et de Chine. Puis il a essaimé un peu partout dans le monde, du moins dans des endroits où le froid n'est pas susceptible de le tuer en hiver : il meurt à -12°. Il est arrivé à Madagascar, s'est facilement adapté mais aussi un peu transformé. Il n'en est pas moins resté médicinal mais avec des applications un peu différentes de l'arbre d'origine. C'est pourquoi le camphrier de Madagascar est connu dans le monde entier sous son nom local de Ravintsara. (2) Est-il resté exactement le même arbre ? La réponse est "non". Le Camphrier est un arbre extrêmement adaptable et... mutable aussi. Il change et présente des caractéristiques un peu différentes selon son origine. Cela se manifeste dans la différence de chémotype (composition chimique) de leurs huiles essentielles. Nous avons : - BOIS DE HÔ, qui est distillée à partir de l'ÉCORCE et du BOIS, et qui est de provenance extrême-orientale, - RAVINTSARA, qui est distillée à partir des FEUILLES, et qui nous vient de Madagascar. La première huile, fortement camphrée, chaleureuse, donne la sensation d'une lumière rougeâtre. La seconde huile, faiblement camphrée, froide et sèche, donne la sensation d'une lumière bleutée (comme celle des étoiles ou des diodes). (3) D'où provient cette différence ? De la partie de la plante distillée ? On pourrait penser que c'est là la réponse logique. Mais Rox et Lud (un couple d’alchimistes amis de PiStar) ont distillé les feuilles de leurs camphriers cultivés en Alsace (en serre) et ont obtenu une huile essentielle à l'odeur caractéristique du Bois de Hô (comme s’ils avaient distillé l’écorce et le bois et pas les feuilles). Reste alors la réponse comme quoi c'est le sol et les conditions climatiques qui ont façonné un autre camphrier à Madagascar. Le camphrier se trouve même en Europe   (1) En Bretagne et ailleurs... Il est naturalisé dans certains coins de Bretagne (pas de froid l'hiver) et surtout sur le pourtour méditerranéen. Ailleurs ? Il fait trop froid. Rox et Lud du Rhin ont installé leurs jeunes camphriers dans leur serre. Peut-être finiront-ils par s'adapter en pleine terre, à condition que ce soit dans un endroit protégé. Le réchauffement climatique pourrait faciliter leur installation. (2) Mais quel genre de camphrier ? Un camphrier... bien camphré ! Du moins chez Rox et Lud du Rhin. Il est vraisemblable que cet arbre très adaptable sera capable de donner - un jour - une forme européenne résistante au froid. L'alchimiste verra cela venir avec intérêt. Mais en attendant, l'alchimiste peut travailler avec la plante en pot ou en serre. En effet, ce qui compte pour lui est ce que la plante ou l'arbre qui vit près de lui a décidé de faire de sa vie et la possibilité que s'établisse un suffisant rapprochement du coeur pour rendre possibles quelques intéressantes conversations via l'élixir. GINGKO et Camphrier : deux champions de la survie !   (1) Champions "ès survie". Le Camphrier est le second emblème d'Hiroshima, après le Gingko. Dans ce désert lunaire, où on se demandait ce qu'il pourrait survivre aux radiations, il y eut quelques miracles végétaux bien verts. Malgré le "coup au but" de la première bombe atomique : - Gingko Biloba a repoussé le premier. - Le second survivant en pleine forme a été le Camphrier ! (2) Camphre et coup de projecteur sur les pensées embrouillées. Etant donnée la confusion régnant chez les scientifiques à propos de cet arbre remarquable qu'est le camphrier, on a bien envie de penser que le camphre éclaircit les pensées embrouillées... ce qui peut ne pas être du goût de tout le monde, et surtout des prédateurs qui nous gouvernent. Imaginez que les gens se mettent tout soudain à voir clair dans les magouilles de toutes sortes ! Ils ne seraient plus influençables ! Et encore moins manipulables ! Ils cesseraient tout simplement d'être des esclaves. (3) Gingko et Camphrier, deux alliés. On peut espérer, de ces deux arbres, qu'ils soient de grands alliés pour nous aider à survivre à l'empoisonnement par les radiations. - On sait déjà que GINGKO aide à retrouver la MÉMOIRE que les radiations (entre autres) ont tendance à miter. - CAMPHRIER, lui, serait bien placé - une fois la mémoire restaurée (au moins en partie) - pour éclaircir les idées et faire en sorte de distinguer la VÉRITÉ du MENSONGE.

Les substances camphrées sont un atout pour améliorer sa santé pour évacuer toutes sortes de déchets et pollutions. Découvrons plus en détail le RAVINTSARA (Madagascar) et le BOIS DE HÔ (Extrême-Orient). HUILES ESSENTIELLES ACHETÉES. Deux sources de camphre exotique sous forme d'huiles essentielles : RAVINTSARA (de Madagascar) et BOIS DE HÔ (d'Extrême-Orient)   (1) Deux essences proches. - La première est le RAVINTSARA : Cinnamomum camphora ct cineole. Partie distillée : ce sont les feuilles qui sont utilisées. Le résultat est une huile très peu camphrée. - La seconde est BOIS DE HÔ : Cinnamomum camphora ct linalol. Partie distillée : le bois. Le résultat est une huile très camphrée, particulièrement recommandée pour le coeur. (2) Ne pas confondre... RAVINTSARA avec : - Ravensare aromatique (Ravensara aromatica), un autre arbre au nom voisin, mais ce sont deux espèces différentes, dont on utilise les feuilles. - Ravensare anisé ou Havoso (Ravensare aromatica), dont on utilise l'écorce. - BOIS DE HÔ avec Bois de Rose (Aniba rosaedora var amazonica). En bref, cela fait plus d'un siècle que même les botanistes s'embrouillent à ce sujet. Les choses n'ont été relativement éclaircies que depuis quelques années. (3) Ne pas confondre les deux sortes de camphriers. On l'a vu, le camphrier d'origine et le camphrier adapté présentent des différences. Même si elles seraient minimes, mieux vaut en tenir compte. (4) Ne pas confondre les deux huiles essentielles entre elles. L'une est extraite du bois (Bois de Hô), l'autre est extraite des feuilles (Ravintsara). Si vraiment il s'agissait exactement de la même espèce, on se demande pourquoi on ne produirait pas les deux types d'huiles essentielles à la fois à Madagascar et en Extrême-Orient. Dans l'état actuel des choses, considérons les deux sortes de camphiers comme des frères mais pas pour autant de jumeaux. Proche du traditionnel camphrier : RAVINTSARA (Cinnamomum camphora ct cineole)   (1) Découvrons le Ravintsara de Madagascar. Ce terme vient de Ravina = feuille et de Tsara = bonne. Son nom montre à quel point cet arbre était fondamental pour conserver la bonne santé, car son action servait dans un très vaste registre. Son usage thérapeutique traditionnel est immémorial. Le Ravintsara commence à être très connu, mais son exploiration sans mesure pose des problèmes d'approvisionnement. On a failli en manquer à plusieurs reprises. Du point de vue alchimique, je doute que ce bel arbre apprécie qu'on l'exploite de façon éhontée. Heureusement que, très récemment, un emploi plus respectueux a vu le jour. (2) Au sein de l'offre "Ravintsara", des variations dans la composition. Un labo propose un Ravintsara avec le chémotype développé suivant : "1,8 cinéole, terpineol, terpinène 1 ol 4. Un autre labo propose son ravintsara avec cet autre chémotype détaillé : 1,8 cinéole, sabinène, a-terpineol, a et b-pinène. Cela peut s'expliquer par de petites différences de provenance ou de mode de distillation. Nous savons bien que les roses n'ont pas le même parfum, il en est de même des autres plantes. Le vrai camphrier d'Extrême-Orient : BOIS DE HÔ (Cinnamomum camphora ct linalol)   Bois de Hô est aussi appelé Bois de Chiu ou encore Laurier du Japon (il fait partie de la famille des lauracées). Il est originaire du Japon et de Chine, et de Taïwan bien sûr. (1) Exploitation habituelle... et utilisation traditionnelle du trio d’amis de Pistar : Lud, Rox, Serge ! Sur les étagères des huiles essentielles naturelles (et certifiées bio la plupart du temps), on ne trouve, pas toujours facilement, l'huile essentielle de "Bois de Hô" = Cinnamonum camphora ct linalol. Alors que l'huile essentielle de Ravintsara est extrait des feuilles du Ravintsara, c'est du bois qu'on extrait l'huile essentielle du Bois de Hô. Pourquoi pas des feuilles ? C'est sans doute plus rentable... mais quand on se montre aussi respectueux que possible de la vie de l'arbre, on fait comme Rox et Lud du Rhin et Serge d'Alsace, on ne taille respectueusement son petit arbre que pour lui assurer une meilleure santé et - pour préparer son camphre - on utilise ses feuilles dont il se montre généreux. (2) Deux huiles essentielles cousines : Camphrier et Bois de Hô. Bois de Hô est très proche de Ravintsara, mais loin d'être identique. Leurs huiles essentielles - outre leurs applications thérapeutiques différentes établies par les thérapeutes en médecine naturelle - procurent donc une sensation différente. - RAVINTSARA dégage une odeur froide, claire, presque sèchement et glacialement camphrée (malgré sa petite quantité présente). Sa belle lumière est très blanche, comme de la glace et procure une impression de parfaite pureté, proche du minéral ou du cristal. - BOIS DE HÔ dégage une suave odeur de camphre, très intense, presque chaleureuse. Sa lumière est subtile et douce, comme une braise veillant (et éveillée) sous la cendre. Cependant, si on en met trop (je viens d'avoir la main lourde, alors je sais de quoi je parle), ce sera un peu entêtant. L'huile essentielle se dirige tout droit vers le coeur (et le chakra du coeur), comme on pouvait s'y attendre mais ce dont j'ai fait l'expérience pour vous en parler. Il nous semble que Ravintsara parle plus à la tête et que Bois de Hô parle plus au coeur. Indications thérapeutiques de RAVINTSARA   (1) Attaques virales de tout type, Attaque virale dénotant une déficience immunitaire importante : grippe, mononucléose, zona, herpès, hépatites, entérites. Vous vous sentez raplapla ? Vous n'avez plus envie de vous battre pour votre propre sur vie ? Vous vous demandez ce que vous faites encore sur terre ? Pensez au Ravintsara. (2) Zone ORL encombrée, avec pour prolongement les poumons. Utile si on encombre votre espace, votre temps et donc qu'on vous empêche de respirer. (3) Insomnie, dépression, angoisse. Vous sentez obscurément que quelque chose ne va pas dans votre vie, que vous avez peut-être pris une mauvaise option. Séparez-vous des gens négatifs, qui veulent que vous les fassiez passer avant votre propre vie et même survie. Occupez-vous de vous-même en priorité, cela vous permettra de vous reconnecter avec des protecteurs ou amis naturels. (4) Fatigue profonde, nerveuse et physique. Vous vous êtes laissé convaincre de vous dévouer à une noble cause (famille, groupe politique, groupe spiritualiste), mais dont les responsables ne se sentent pas tenus à leur tour de vous soutenir. Ravintsara ne vous aidera efficacement que si vous coupez immédiatement avec ces vampires. Arrêtez l'hémorragie et Ravintsara vous fera remonter la pente àn toute allure. Indications thérapeutiques de BOIS DE HÔ   (1) Zone ORL et broncho-pulmonaire. Très utile si vous manquez d'air ou... si on vous "pompe l'air". En cela, il est proche de Ravintsara. (2) Anti-douleur général. Cela ne va pas ? Vous avez mal partout ? Vous avez mal dans un endroit précis et ça ne veut pas passer ? Vous avez l'impression que l'on vous marche dessus ? Pensez au Bois de Hô. (3) Antifongique. 80% des Européens sont atteints de Candida Albicans et d'autres champignons du même genre. Vous avez l'impression d'être parasité ? Pas vraiment par une personne (ou alors elle est soigneusement cachée), mais plutôt par un ensemble de personnes assez mal défini = un groupe, une famille ? Vous avez l'impression qu'on vous a posé un tuyau, histoire de vous pomper votre énergie ? C'est une bonne indication. (4) Régénérateur tissulaire. Entendez : il intervient dans le processus de rajeunissement de certains tissus ou, au moins, limite leur vitesse de vieillissement. Excellent donc pour régénérer des cicatrices ou, en cas d'opération ou de blessure, pour aider à ce que les nouveaux tissus soient en pleine forme. Si vous avez fait un grand ménage dans votre vie, si vous souhaitez que les inévitables petites blessures ou tristesses qui montent du fait qu'on éjecte de soi le passé qui pèse, alors pensez au Bois de Hô. Mais notez qu'il retape celui qui a fait le ménage : il n'intervient pas avant. Peut-être serait-ce pour vous un petit cadeau à vous offrir ? Histoire d'encourager (toute proportion gardée) une nouvelle jeunesse avec le printemps qui s'annonce.