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Voyager dans le TEMPS : Vies passées - vies futures  Voyager dans l'ESPACE : Ovnis - Le graal et la galaxie 1000 VIES
Voyager dans le TEMPS : Vies passées - vies futures
Magnifique
cosmos
(1) L’univers matériel : Big Bang - Big Crunch - Big Bounce...
(2) L'univers est notre "terrain de jeu" où nous entrons et dont nous sortons
(3) Le “chemin du temps” existe. On peut y accéder, on peut s'en dégager.
Vies passées,
vies futures
(4) Réincarnation et Occident - le point de vue du Druidisme
(5) 1000 vies et bien plus. Comment se servir utilement des vies passées ?
(6) Comment poser des jalons pour le futur ? Peut-on apercevoir des vies futures ?
Vous l’avez dit
Vous l’avez fait
(A) Biorythmes, astrologie... et formation d'un couple. (2010)
(B) Pourquoi un guérisseur ou un maître spirituel meurt-il plutôt jeune ? (2011)
(C) Pourquoi les gens de bien se font-ils systématiquement démolir ? (2011)
(D) Un point de vue scientifique sur le bien et le mal. (2012)

ACTUALITÉ : vos Questions/Réponses sont dans le trimestriel : “Le Journal de PiStar”.

IMPORTANT. Pas de consultations sur ce site : il est entièrement consacré à un ENSEIGNEMENT GRATUIT.

Dernière mise à jour : 31 décembre 2012
Copyright © 2010 / 2012 : Pistar
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Vous voulez mieux comprendre le bien et le mal ? Voici un essai d’explication scientifique. Voyez cela en détail à la fin de cette page (D – 2012).
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Magnifique cosmos

Sommaire

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(1) L’univers matériel : Big Bang - Big Crunch - Big Bounce...

    Faisons le point de ce que nous savons de l'univers, surtout depuis que des télescopes géants lancés dans l'Espace nous renseignent sur les commencements de l'univers dans lequel nous vivons.
  • Age de l'univers : comment on est passé de 6000 ans à 13,7 milliards d'années   Retour au Sommaire.
    Il y a deux siècles, en Occident, les églises chrétiennes imposaient de croire que l'univers avait été créé il y a 6000 ans. Elles étaient toutes puissantes alors et pouvaient même éliminer les savants qui se mêlaient de découvrir autre chose. Notre grand Champollion en a tristement fait les frais et - de ce fait - a connu une mort prématurée.
    Il est amusant de penser que c'est un prêtre, enseignant à l'unversité de Louvain, le professeur Lemaître, qui au début du XXème siècle, fut à l'origine de ce qui s'est plus tard appelé "Big bang" et qui postulait une très longue durée à l'univers.
  • Big Bang - Big Crunch - Big Bounce   Retour au Sommaire.
    C'est la théorie du "Big Bang" qui est la référence aujourd'hui, complétée par celle du "Big Crunch", "améliorée" par celle du "Big Bounce" de l'indien Abhay Ashtekar, directeur du département de la physique de la gravité à l'université de Pennsylvanie.
    (1) Big bang = création très expansive, proche d'une explosion (sauf que ce fut une lente expansion).
    (2) Big Crunch = grand effondrement. Après s'être très gonflé, l'univers retombe sur lui-même comme un soufflé qu'on a amené trop tardivement à table. Et même plus : il se réduit au point dont il était parti.
    (3) Big Bounce = grand rebond.
    Théorie selon laquelle l'univers a connu plusieurs phases d'expansion et d'effondrement sur lui-même. Il n'y a donc pas seulement un univers mais une succession d'univers qui, tous, utilisent la même matière. Le fait de revenir périodiquement à un point zéro est une manière de remettre à neuf cette matière.
  • Combien d'univers ? Combien de vies ?   Retour au Sommaire.
    Il est intéressant de relever que les défenseurs de cette théorie des univers successifs viennent de l'Inde. Et de faire le parallèle suivant : les scientifiques occidentaux parlent d'un seul univers comme ils pensent ne vivre qu'une seule vie. les chercheurs indiens prônent l'existence de plusieurs univers, comme ils savent qu'ils ont plusieurs vies.
  • Quand notre univers a-t-il commencé ? Quand se terminera-t-il ?   Retour au Sommaire.
    - Commencement de l'univers (Big Bang) ?
    La datation actuelle est de 13,7 milliards d'années (date reconnue comme valide vers 2000 et maintenue depuis). Elle repose sur des observations régulièrement confirmées depuis un demi siècle.
    - Fin de l'univers ?
    Une date proposée pour la durée de l'univers est : 280 milliards d'années. C'est essentiellement spéculatif et si vous rencontrez une autre date, elle repose sans doute sur une autre théorie.
  • Qu'y avait-il a vant notre univers ?   Retour au Sommaire.
    - Pas d'avant, disent les Occidentaux.
    - Pas d'avant, dit l'Église catholique (ceux qui acceptent cette durée pour l'uni vers et ne sont donc pas des "créationnistes", qui attribuent une durée d'environ 10.000 ans à l'univers). En effet, disent-ils, c'est à ce moment que Dieu créa l'univers. Il y eut un long laps de temps, puis ce même Dieu créa les âmes des êtres humains.
    - Un autre univers, disent les Indiens. Avec sans doute la même manière de commencer, de continuer puis de mourir afin de renaître.
    - Le Druidisme - qui enseignait la réincarnation - choisirait l'option des univers multiples, comme actuellement en Inde. Je ne connais pas d'autres druides que moi-même pour discuter de physique fondamentale, ce qui ne signifie pas qu'ils n'existent pas. Je peux juste vous apporter mon opinion.
  • Qu'y aura-t-il après notre univers actuel ?   Retour au Sommaire.
    - Je ne sais pas, dit l'Occident. Notons que l'Occident a la même réponse pour ce qui concerne la vie après la vie : résurrection ? réincarnation ? rien du tout ?
    - Il y aura un autre univers, dit l'Inde, comme il y en a eu un autre avant. De même que nous avons déjà vécu plusieurs vies et que nous en vivrons d'autres.
  • En savoir plus sur l'univers ?   Retour au Sommaire.
    N'essayez pas (sauf si vous êtes physicien) de vous plonger dans des livres de physique actuellement publiés (début 2010) exposant ces différentes données sur l'univers. Le moins qu'on puisse dire d'eux est qu'ils ne font rien pour séduire leurs lecteurs.
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(2) L'univers est notre "terrain de jeu" où nous entrons (= incarnation) et dont nous sortons (= au-delà)

    Imaginez l'univers matériel comme un terrain de football. Il y a beaucoup de spectateurs pour un petit nombre de joueurs.
  • Est-ce facile de s'incarner ?   Retour au Sommaire.
    Le Bouddhisme insiste pour parler de la "précieuse vie humaine" comme s'il n'était pas si facile que ça de s'incarner. Le Druidisme laisse penser que nous sommes une bande d'habitués sur cette planète et que nous trouvons à nous incarner dans notre famille ou pas très loin de l'endroit où elle vit.
  • Pour s'incarner, il faut être compétent pour ce qui concerne l'univers matériel   Retour au Sommaire.
    Autre point de vue : pour descendre sur la pelouse et y tenir un rôle honorable, non seulement il faut connaître les règles du jeu mais il vaut mieux avoir une compétence suffisante pour être accepté des autres joueurs et éviter de se faire virer pour cause de carton rouge.
    Le carton rouge aujourd'hui ce sont les Ogm et les sources de pollution : c'est l'donc ignorance ou la transgression volontaire des règles harmoniques de la vie qui font que le résultat est incompatible avec la vie. Donc, c'est l'expulsion du terrain de jeu.
  • Qui est l'arbitre ?   Retour au Sommaire.
    (1) Pour les monothéistes, pas de doute, c'est "Dieu".
    Nous sommes ses créatures et il nous a placé dans le monde matériel. Il nous donne la vie et il nous la retire.
    (2) Pour les hindouistes il n'y a pas d'arbitre.
    On a intérêt à faire partie d'un groupe mené par un chef sage qui connaît toutes les embûches. Il y en avait sans doute autrefois, avant les grandes guerres du Ramayana. Mais depuis, c'est la foire d'empoigne et c'est chacun pour soi.
    (3) Pour les bouddhistes, l'essentiel est de s'évader de ce lieu de misères.
    Il faut tirer la leçon des hindouistes. Il faut trouver un maître spirituel qui vous enseigne comment sortir de ce piège, car la réincarnation n'est pas un terrain de jeu mais un camp de concentration.
    (4) Pour les Egyptiens antiques, la réincarnation existait, certes, mais il fallait faire très attention à rester groupés.
    En attendant d'éventuellement revenir, on devait faire très attention à ne pas sortir du groupe. D'où les rites de la momification afin d'accéder "aux champs d'Ialou" ou "Amenti", ce qui correspond à notre "Paradis". Avec cette différence que le séjour y était provisoire, même s'il pouvait durer très longtemps, voire même des milliers d'années.
    (5) Pour le Druidisme, c'est très simple : on est une bande de copains qui se réincarnent régulièrement ensemble.
    On se retrouve donc entre amis et vieilles connaissances. Il faut bien veiller à son terrain de jeu pour ne pas se faire envahir par des bandes de pillards qui voudraient jouer sur un terrain de jeu mais qui n'ont pas pris soin d'en construire un. Des squatters, quoi ! Il n'y a pas d'arbitre à proprement parler, mais il existe un consensus du groupe. Quand quelqu'un prétend s'imposer comme chef, on lui fait la peau. Transposé dans le domaine politique, c'est ce qui est arrivé à Celtill, le père de Vercingétorix. Poussé par les Romains, il voulut unifier un certain nombre de peuples celtes et se vit condamner à mort = expulser du terrain de jeu. Il arriva la même chose à Jules César : son propre fils adultérin, Brutus le poignarda (avec un poignée d'autres conjurés) pour l'empêcher d'accéder à la royauté à la mode étrusque.
  • Impérialisme monothéiste.   Retour au Sommaire.
    Avec la fin de la République romaine, le centralisme était en marche car, moins d'un demi siècle plus tard, ce fut la fin de la République et le commencement de l'Empire. L'obscurantisme spirituel était aussi en marche. Trois siècles plus tard, le concile de Nicée déclarait la réincarnation hérétique et ses croyants "persona non grata" sur ce terrain de jeu dont cet impérialisme religieux entendit s'assurer l'exclusivité. Les condamnations à mort et les extermination de groupe pour religiosité non conforme durèrent ainsi presque 2000 ans.
  • On génocide les habitants et on s'installe chez eux.   Retour au Sommaire.
    On compte 2000 ans depuis la naissance du Christianisme, mais il ne faut pas oublier les méfaits d'une position religieuse qui exclut les autres. Les hébreux inaugurèrent une nouvelle manière de faire la guerre : exterminer ceux qui ne pensaient pas comme eux. Rappelons le génocide des habitants de Jéricho : la ville fut rasée, brûlée, ses habitants tous passés au fil de l'épée (sauf la prostituée Rahab qui trahit son peuple). Et même les animaux furent immolés à ce qu'on ne peut qu'appeler une folie meurtrière : aucun voisin n'aurait eu la sottise de tuer des animaux qu'on pouvait récupérer pour son propre usage, ni des gens qu'on aurait pu aisément vendre comme esclaves. Une fois qu'il n'y eut plus personne pour protester, il fut facile de dire : "l'Eternel nous a donné Canaan".
  • La protestation matérialiste.   Retour au Sommaire.
    Après 3000 ans et sans doute un peu plus de monothéisme, on peut comprendre la protestation des libres penseurs. "Fichez-nous la paix avec vos embrigadements ! Vos promesses pour la suite ne sont que du flan car vous ne maîtrisez rien du tout. Il y a peut-être quelque chose ou peut-être rien du tout mais vous n'en savez rien, vous ne faites que répéter des mensonges ou des histoire que vous n'avez pas vérifiées".
  • Quelques points de vue modernes.   Retour au Sommaire.
    (1) La réincarnation existe.
    Suffisamment de recherches pertinentes ont été menées. On n'en connaît pas les règles du jeu, mais la première chose à faire - quand on est en terrain inconnu - est de procéder à l'inventaire de la situation.
    (2) On a intérêt à ne pas rester passif et à chercher des informations.
    La réincarnation n'est pas que l'occasion d'anecdotes et de se repasser son passé comme une vidéo. C'est l'occasion d'explorer le passé pour comprendre ce qui s'est passé, le nettoyer de ses conséquences fâcheuses dans le temps présent... en bref, reprendre la maîtrise de sa propre vie en attendant de trouver quelques copains avec qui recréer une famille de pensée et d'action.
    (3) On ferait bien de se poser des questions sur l'avenir de notre terrain de jeu, la planète Terre.
    Certains habitants de cette planète ont génocidé Canaan, d'autres ont voulu les génocider à leur tour pendant la seconde guerre mondiale. On peut très bien supposer que notre planète est regardée avec des yeux luisants de convoitise par plus puissant que nous. Et que l'humanité est en train de se faire génocider par quelques prédateurs envoyés en avant-poste : les Monsanto qui empoisonnent la planète, les financiers qui empêchent tout échange intelligent en imposant une frénésie d'échanges stupides, les politiques pour qui c'est "tous morts sauf moi : je veux ma gamelle bien pleine".
    Comme Cicéron il y a 2000 ans, il faut se poser la question : "qui bono ?", "c'est bon pour qui ?" = à qui cela profite-t-il ?
    Mais en attendant de se la poser sérieusement, il faut se mettre à l'abri. Et que je sache, la seule chose protectrice que nul ne peut retirer , c'est le savoir.
  • En conclusion : faisons l'inventaire des lieux et retrouvons nos amis   Retour au Sommaire.
    Le vrai savoir ne consiste pas à répéter comme un perroquet ce que d'autres ont dit mais à s'informer, par l'observation directe. Faire l'état des lieux en matière de réincarnation nous permet de retrouver notre propre passé. Et comme un avenir intéressant ne peut se construire que sur un passé clarifié, nos avons intérêt à nous retrousser les manches avant d'être totalement privés de terrain de jeu où jouer le jeu de la vie en compagnie d'amis choisis.
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(3) Le “chemin du temps” existe. On peut y accéder, on peut s'en dégager. Mais peut-on le modifier ?

    Nous avons un espace, dans lequel notre univers est apparu. Cet univers est changeant et persistant : il y a donc l'écrin du temps.
  • La façon la plus répandue de concevoir l'univers est celle-ci :   Retour au Sommaire.
    - trois dimensions pour l'espace : longueur, largeur, hauteur,
    - une dimension pour le temps. Certes, il y a le passé, le présent et l'avenir, mais comme on ne peut s'y promener comme dans l'espace, et allonger ou raccourcir une des dimensions, on ne compte qu'un seul item pour ce temps.
  • Et s'il existait aussi trois dimensions pour le temps ?   Retour au Sommaire.
    (1) Le chemin du temps existe, nous y cheminons depuis 13,7 milliards d'années dans cet univers.
    Le point de vue le plus répandu est qu'on ne peut sortir de ce chemin. Tout au plus peut-on se remémorer le parcours qu'on a suivi et s'alléger des souvenirs cuisants de ses erreurs ou mauvaises actions.
    - Le point de vue monothéiste est qu'on y entre à un moment et qu'on en sort presque aussi vite car la durée d'une vie humaine est peu de chose comparée au long chemin du temps. Une fois sorti de ce chemin du temps, on entre dans l'éternité (ce qui signifie être hors du temps).
    - Le point de vue réincarnationiste est qu'on y entre et qu'on en ressort. Et qu'on y entre à nouveau et qu'on en ressort assez vite. Un peu comme entrer/sortir - entrer/sortir... Bon ! Il serait temps (a) de ne plus se laisser prendre à un tel yoyo et (b) de regarder d'un peu plus haut ce qui se passe vraiment.
    (2) Voyons ce que cela implique de regarder les choses d'un peu plus haut, d'au-dessus du chemin du temps.
    Cela signifie s'affranchir du temps et donc pouvoir y modifier des choses. Cela vous donne le vertige ? C'est parce que vous manquez d'explications. Voyez le point suivant.
  • Peut-on vraiment agir sur le temps ?   Retour au Sommaire.
    (1) Ce qui est communément acceptable.
    - On peut changer son propre présent en en devenant plus conscient, en refusant de répéter les esclavages passés et de faire les quatre volontés d'un tyran domestique (pas nécessairement le mari, les enfants ont été entraînés par cette société à être pires).
    - On peut, de ce fait, choisir un meilleur futur. Jusque là pas de vertige, nous sommes en terrain connu.
    (2) Ce qui "interpelle".
    - En retrouvant ses vies... en tous cas en commençant par quelques épisodes d'une vie passée, on comprend mieux son présent. Toujours pas de vertige... - En disant : "J'aurais dû faire... et désormais je ferai...". Ou en disant : "Ah, on ne m'y reprendra plus ", on commence à s'approcher d'une modification durable sur le chemin du temps. La règle du jeu répétitif qu'est le temps, dont le but est de maintenir l'existence de l'univers en répétant inlassablement son existence, commence à présenter une brèche. Le présent est modifié et l'avenir encore plus. - En poursuivant une sorte de rêverie et en disant : "Ah, si j'avais su...", on entre dans un monde parallèle, un monde rêvé, certes, mais un monde différent de la réalité commune actuelle.
    Et si nos vies alternatives rêvées n'étaient pas qu'un rêve ? C'est là que le vertige réapparaît !
  • Peut-on se libérer du passé ? Peut-on le modifier ?   Retour au Sommaire.
    (1) Libération individuelle.
    Certaines recherches sur la réincarnation font apparaître le phénomène suivant. Quand quelqu'un se libère d'une charge de chagrin, de colère ou de n'importe quelle émotion négative qui lui pesait sur le coeur, il se sent plus léger et plus enclin à éprouver des émotions positives et donc à créer un avenir qui soit plus rose. Jusque là, c'est encore acceptable. Le vertige apparaît un peu car on pense : "c'est une chose que je devrais faire mais je me demande dans quel abîme je pourrais tomber".
    (2) Libération de proches.
    Quand quelqu'un s'est libéré d'un poids, il se produit souvent une libération pour certains de ses proches. S'il s'en produit une pour ceux qu'on ne connaît pas en cette vie, on n'en est pas conscient mais des rencontres peuvent ensuite avoir lieu. Il ne suffit pas de dire : "il est moins insupportable donc la vie est meilleure pour tous, donc tout s'explique". Une personne comprend quelque chose concernant un passé dont elle ignorait tout jusqu'à présent. Elle se sent libéré d'un poids et une charge s'en va. Littéralement ! Comme une charge de statique qui se décharge ! Je vous assure que ce n'est pas qu'une façon de parler, c'est un phénomène électromagnétique réel. Les charges de statique vont souvent par groupe et ce sont donc d'autres charges qui se déchargent car l'équilibre délétère a été rompu. D'autres personnes peuvent donc ressentir une libération à titre personnel. Le vertige revient ? je vous comprends. Mais encore un peu de courage ! Nous allons poursuivre en examinant la suite.
    (3) On peut considérer que le passé a été modifié : on voit les choses différemment.
    C'est comme si cette sottise n'avait jamais existé. Les travaux du physicien Rupert Sheldrake tendent à montrer que c'est un phénomène bien réel. Consultez son riche mais pas facile ouvrage ; "Une nouvelle science de la vie" (Rocher 1985). Ainsi, le passé peut être réécrit.
    C'est ce que font tous les politiques qui réécrivent le passé.
    On a tendance à penser que la vérité finit toujours par ressurgir du puits dans lequel on l'avait précipitée, et que les morts finissent par sortir des charniers si profondément qu'ils aient pu être enfouis sous des tonnes de terre. On a raison, mais pas comme on le penserait au premier abord. Ce n'est pas une vérité abstraite, écrite une fois pour toute, qui hurle pour se faire entendre, mais la mauvaise conscience des bourreaux qui finit pas être accablante. Et encore, cela ne suffirait pas. Ce qui achève d'être le mouvement déclencheur du réveil du passé, c'est la mauvaise conscience des victimes qui hurle elle aussi, moins fort dans notre monde d'irresponsables mais tout de même assez fort pour finir par tout faire ressurgir.
  • Un monde ne peut exister que par consentement mutuel...   Retour au Sommaire.
    (1) On spécule à l'infini sur le couple bourreau/victime.
    - On condamne le bourreau et on plaint la victime. C'est une première approche, très saine d'ailleurs, dans notre monde qui fait du bourreau une victime de la société, de ses parents... et qui le remet bien aveuglément en liberté. Mais ce n'est pas suffisant, il faut continuer le travail.
    - La victime a été victime parce qu'elle s'est trouvée là au mauvais moment, dans de mauvaises circonstances. En bref, elle n'aurait aucune responsabilité. C'est là qu'est l'erreur. Elle en a une ou même plusieurs. C'est ce qu'ont compris les victimes d'agression qui décident d'apprendre des techniques de self-défense. C'est ce qu'ont compris les femmes israéliennes qui vont se marier civilement à Chypre pour éviter d'entrer dans un mariage religieux à effets civils dont elles ne pourront plus sortir que par consentement du mari. S'il refuse ? Rien n'y fait. Le grand rabbin d'Israêl peut peser de tout son poids et même faire emprisonner le méchant, rien n'y fera si la bourrique refuse d'obtempérer (c'est un cas réel) = de signer le "guett", l'acte de divorce. Dans de telles conditions, il est parfaitement stupide de se marier ! Ne ricanez pas trop vite : c'était pas loin d'être le cas jusqu'en octobre 1965 en France, où la femme mariée a enfin pu ouvrir un compte en banque sans l'autorisation de son mari. Si ! Si ! Et comme chacun sait, l'argent est le nerf de la guerre et ce qui assure à un individu son autonomie, commencement de tous les apprentissages de la vie.
    (2) On n'est jamais victime que de deux choses :
    - de son ignorance (on doit s'informer avant de s'engager et veiller à ce qu'il y ait une porte de sortie),
    - de son manque de courage à faire quelque chose pour refuser ce qui ne convient plus.
    (3) Concernant "la vallée de larmes" où nous sommes censés vivre, ce n'est jamais qu'une extension du couple "bourreau/victime". Pour en sortir, la mauvaise solution est de dire qu'on ne reviendra pas parce que la réincarnation n'existe pas. L'autruche qui cache sa tête sous son aile pour ne pas voir le tueur ne le fait pas disparaître, elle ne le voit tout simplement plus. Nier les vies passées, ce n'est pas s'en débarrasser, c'est (a) avoir des semelles de plomb et (b) croire que c'est normal pour les pieds d'être aussi lourds à traîner que des boulets.
  • ... Que cesse le consentement mutuel sur ce qu'on emporte du passé et le passé pourrait être modifié   Retour au Sommaire.
    C'est encore très théorique pour la plupart des gens. Et donc... pas de sensation de vertige.
    Pourtant, si c'est théoriquement possible, il se pourrait bien que ce soit réel, au moins pour quelques personnes. Et quand cela commence à devenir réel... enfin fichument possible... le vertige revient.
    Les recherches en sont là et elles vont se poursuivre. Mais ne courrons pas trop vite, il reste tout le champ des vies passées à explorer.
  • Au fait, et le vertige ?   Retour au Sommaire.
    (1) Le piège de l'ignorance a un maton (gardien de prison), c'est le VERTIGE.
    Le vertige est une sensation très désagréable qui a été mise en place dans un lointain passé pour empêcher les gens trop curieux d'aller voir ce que le tireur de ficelles de marionnettes est en train de concocter comme méchanceté. Ce vertige est souvent accompagné de NAUSÉES, qui est la tentative de rejeter une chose qui pèse sur l"estomac. C'est une charge électromagnétique réelle, implantée au niveau du plexus solaire !
    Allez-y progressivement, n'abandonnez pas votre curiosité, mais ne vous faites pas non plus d'insupportables misères. Vous vous déferez progressivement de certains pièges = des idées stupides qu'on vous a amené à croire qu'elles étaient bonnes. Vous n'y tomberez plus jamais et vous aurez envie de faire la peau au méchant. Il est politiquement incorrect de mettre les méchants hors d'état de nuire dans notre monde. Alors, il reste la possibilité de sortir d'un jeu stupide auquel on n'a plus envie de souscrire. Tendre la main à ses ennemis ne peut être que le privilège du très fort, qui est capable de réduire en miettes celui qui ne tiendrait pas ses nouveaux engagements. Croire que c'est ce que l'on doit faire quand on n'est pas très solide relève purement et simplement de la manipulation mentale. Vous voilà avertis d'un piège. Vous en trouverez bien d'autres.
    (2) C'est ce même vertige qui empêche d'avoir accès aux vies passées.
    Commencez par l'étape n°1 et par vous débarrasser des fausses vérités. Vous diminuerez l'impact du piège sur vous et vous aurez donc plus facilement accès à vos souvenirs. Aucune technique ne sera durablement efficace si vous n'avez pas fait - au préalable - le ménage dans votre vie actuelle.
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Vies passées, vies futures

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(4) Réincarnation et Occident - le point de vue du Druidisme

    Le Druidisme - qui enseignait la réincarnation - choisirait l'option des univers multiples, comme actuellement en Inde. J'ai bien dit "enseignait" et pas "enseigne", car la forme grammaticale du présent impliquerait que tous les druides actuels enseignent la réincarnation.
  • Réincarnation : situation historique en Occident   Retour au Sommaire.
    (1) La réincarnation était enseignée dans tout le monde antique, mais on n'en faisait pas tout un plat.
    Ce qu'il convenait de faire était de bien vivre cette vie. Et nos proches ancêtres (2000 ans, c'est proche dans le temps) n'avaient guère plus de souvenirs que nous du passé. Ils n'en parlaient donc pas dans la vie courante, pas plus qu'aujourd'hui on se pose des questions métaphysiques sur la vie après la vie, ou sur le "rien du tout" après la vie.
    (2) Les druides soulignaient très fortement l'existence de la réincarnation.
    C'étaient des savants respectés et donc les gens avaient tendance à les croire, même quand ils n'avaient pas le souvenir personnel d'avoir déjà vécu. Une des thérapies du druidisme était de soigner la tête des gens en leur faisant nettoyer certaines de leurs vies passées. Cela consistait surtout à retrouver certains de ses méfaits passés et à s'en soulager en comprenant son erreur et ensuite en compensant le préjudice causé par de bonnes actions.
    (3) Une autre raison pour laquelle les druides insistaient tant sur la réincarnation était purement politique.
    Il s'agissait d'envoyer nombre de jeunes gens au combat pour libérer la patrie celte des envahisseurs romains. La promesse de revenir au sein de son clan dès que le corps d'un futur bébé serait disponible transformait la mort en un mauvais moment à passer. Cela ne met nullement en cause la véracité de cet enseignement, mais montre comment les politiques peuvent utiliser une vérité pour faire accepter leurs choix pour la communauté.
  • Réincarnation & Druidisme aujourd'hui   Retour au Sommaire.
    Il y a plusieurs courants dans le Druidisme :
    - ceux qui enseignent tranquillement la réincarnation,
    - ceux qui préfèrent penser - comme les monothéistes - qu'après la mort, il y a un paradis pour les bons. Ils ont beaucoup de mal à se débrouiller avec l'enseignement traditionnel, attesté par quelques citations romaines irréfutables. Mais ils préfèrent ne pas y penser et conservent - même en étant druide - leurs habitudes chrétiennes en matière de foi.
    - ceux qui disent : je ne sais pas, occupons-nous de célébrer la vie, on verra après.
  • Durée de l'univers & Druidisme   Retour au Sommaire.
    Peu de druides se posent cette question. Ils adhèrent aux thèses scientifiques les plus répandues, soit aujourd'hui celle du Big Bang quand ils en ont entendu parler. Ils savent au moins que la durée de l'univers est de l'ordre de 14 milliards d'années, que 9 milliards plus tard, la Terre apparaissait, ce qui lui donne une durée de vie actuelle d'environ 5 milliards d'années.
    Voilà un long laps de temps qui nous fournit de multiples occasions de nous incarner sur Terre, sans parler des autres planètes !
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(5) 1000 vies et bien plus. Comment se servir utilement des vies passées ?

  • 1000 vies et bien plus   Retour au Sommaire.
    Faisons simple, faisons court.
    Nous avons un univers qui a 13,7 milliards d'années de durée actuellement estimée. Nous avons donc eu des milliers de possibilités d'entrer dans ce terrain de jeu, et cela sous diverses formes.
    Et comme c'était possible , nous l'avons fait.
  • Comment se servir utilement des vies passées ?   Retour au Sommaire.
    (1) Déterrer et nettoyer le passé.
    - L'intérêt des vies passées n'est pas de se raconter une histoire... encore que, de même que nous lisons des romans, nous pourrions aussi avoir de la curiosité et même du plaisir à nous repasser la vidéo de nos vies passées.
    - L'intérêt de déterrer le passé est de le nettoyer de sa gangue d'émotions négatives pour qu'il cesse d'être pesant et puisse être considéré comme une suite de souvenirs à visiter... comme on le ferait vis-à-vis de vestiges du passé : nettoyés, classés, réévalués, et finalement installés dans un musée.
    (2) Puis s'en servir pour améliorer le présent.
    Il n'y a pas que les ennuis qu'on déterre, il y a aussi les belles histoires et le savoir-faire, parfois d'un grand intérêt technologique.
  • Affaire à suivre   Retour au Sommaire.
    Il y aurait encore beaucoup à dire, mais ce sera pour un peu plus tard. Travail en cours !
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(6) Comment poser des jalons pour le futur ? Peut-on apercevoir des vies futures ?

    S'intéresser aux vies passées n'est pas être passéiste. C'est un bon moyen pour s'alléger le présent et donc de se donner la possibilité de construire un meilleur futur.
  • On peut poser des jalons pour le futur   Retour au Sommaire.
    (1) Nettoyer le présent.
    C'est tout-à-fait faisable que d'avoir de vrais projets pour son futur - même dans la relativement longue échéance qu'est sa prochaine vie - car cela relève du bon sens. Plus le présent sera propre, plus l'avenir sera dégagé. On se doit même de mettre toutes les chances de son côté, en appliquant à la lettre l'aphorisme suivant : "le perdant est celui qui sait ce qu'il fera s'il gagne, le gagnant est celui qui sait ce qu'il fera s'il perd".
    - Le perdant passe son temps à rêver du gros lot... qu'il ne gagnera sans doute jamais. Et comme c'est un rêveur loin des réalités, même s'il gagnait un jour une somme importante, il se laisserait dépouiller par tous les prédateurs qui ne manqueraient pas de fondre sur lui.
    - Le gagnant - lui - sait évidemment comment il utilisera ce qu'il gagnera quand il l'obtiendra, car il travaille dur pour cela. Il ne rêve pas, il a des objectifs réalisables. De plus il sait ce qu'il fera si les choses tournent mal : il a des solutions de secours. Y compris celle d'avoir le courage d'abandonner une mauvaise idée ou des gens qui se seront révélés être des crapules.
    (2) Morale et éthique.
    Travailler sur les vies passées et les vies futures n'est pas qu'une question spirituelle. C'est un vrai travail de reconstruction de sa propre existence. Et cela demande avant tout de reconsidérer sa façon de vivre, celles des autres et de sortir d'une belle quantité d'idées stupides dites "morales", lesquelles ne profitent qu'aux prédateurs qui les ont mises en place. Il est donc urgent :
    - de remplacer la "morale" (les solutions qui ont fonctionné dans le passé),
    - par de l'éthique (ce qui fait le plus grand bien au plus grand nombre d'êtres à commencer par moi-même).
  • Il se pourrait même que l'on puisse apercevoir des vies futures   Retour au Sommaire.
    (1) Vies futures explorées par l'institut Monroë.
    L'institut Monroë, aux Etats-Unis, a tenté quelques expériences de ce genre vers les années 1990. Ce fut intéressant. Des gens ont eu un aperçu de ce que pourrait être le monde dans lequel ils pourraient vivre dans des laps de temps plus ou moins éloignés, allant jusqu'à plusieurs milliers d'années. Mais s'agissait-il de la terre ? Cela y ressemblait mais ce n'est pas une raison suffisante pour penser qu'il s'agissait de notre planète. Cela était-t-il un avenir certain ? Sans doute pas car on peut faire des projets pour son avenir mais changer d'idées ensuite.
    (2) Le film se fera, mais est-on d'accord pour y jouer un rôle ?
    Il n'en reste pas moins que si l'avenir est quelque chose que l'on construit collectivement, on peut avoir le projet d'un film et finir par le réaliser. Ce ne seront peut-être pas les acteurs pressentis au départ qui en joueront les rôles, mais il finira - en général - par se faire. Par conséquent, on peut avoir aperçu un avenir, on peut même avoir été pressenti pour un certain rôle et, finalement décider que c'est non. Ou décider que c'est oui. Ce qui veut dire s'incarner dans un certain corps, au sein d'une certaine famille, quand le moment sera venu.
    (3) On n'est ficelé dans le futur que par son manque de courage à reprendre les choses en main.
    Et à créer librement son futur.
    - On doit se rappeler que si on a toujours le droit de changer d'avis, on n'a pas celui de faire des caprices. Ce qui veut dire payer le dédit pour pouvoir se dégager d'un projet auquel on a préalablement adhéré. La sanction du capricieux, qui veut tout se permettre sans égards pour les autres et que plus personne ne voudra désormais faire équipe avec lui.
    - Mieux vaut donc ne pas s'engager pour les 1000 vies à venir - ni pour la prochaine d'ailleurs - avant d'en savoir beaucoup plus. Ni pour les 7 milliards d'années à venir (durée de vie estimée de la planète terre).
  • Quand vous engagez votre avenir, que ce soit sous la forme du contrat et non de promesses !!!   Retour au Sommaire.
    (1) Le contrat, en matière de vies futures, c'est quoi ?
    C'est : "Bon, je m'engage à être là. Et vous, vous vous engagez à quoi ?". Et veillez que votre engagement, même spirituel, soit fait sous les auspices du droit européen (traitant de la chose) et non du droit anglo-saxon, d'origine féodale (traitant des gens).
    (2) Servons-nous du modèle juridique pour évaluer la validité de nos engagements possibles.
    En droit anglo-saxon, les gens sont liés pas des promesses, réciproques en général mais pas nécessairement. Vous avez promis de payer le kilo de patates, vous êtes tenu d'en verser le prix même si on ne vous livre pas les distes patates. Mais vous avez la possibilité de demander des dommages et intérêts. Allez donc réclamer auprès d'un gourou de mauvaise foi ! Hein ! Le monde entier a compris que le droit anglo-saxon devait rester une spécialité pour ceux qui aiment ça. En matière de commerce international - et ceci depuis au moins 15 siècles - c'est le droit européen, le droit fondé sur le contrat de type romain et donc sur l'échange de choses qui est la référence. Ce qui veut dire : "tu t'engages à me livrer des patates et moi, je m'engage à les payer dès lors que j'aperçois le cageot bien en vue". Et cela en monnaie valable : argent liquide, chèque certifié...
  • Alors ? Ne vous engagez qu'avec des gens propres et sur des faits clairement connus.   Retour au Sommaire.
    En conclusion, la question des vies passées et des vies futures est quelque chose de très sérieux. Ce n'est pas qu'une aventure, c'est aussi une question de bon sens pour gérer intelligemment ses engagements et n'entrer dans une aventure que si elle en vaut la peine. Cela veut dire ne pas donner imprudemment sa parole et tout autant ne pas croire en des promesses mirifiques qui - comme l'a dit un homme d'état français (Charles Pasqua) : "Les promesses électorales n'engagent que ceux qui y croient", comprenez n'engagent nullement le beau parleur dans son discours électoral. Ce professeur de cynisme a au moins le bon sens de dire crûment ce que tout homme politique fait sans le dire. Il en est de même des gourous et des prêtres de toutes les religions. Il y a heureusement de vraies exceptions. C'est à vous de faire preuve d'un bon sens vigilant pour les trouver.
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Vous l’avez dit. Vous l’avez fait

    Vous avez déjà "Le Journal de PiStar" pour poser vos questions et y lire les réponses qui vous ont été faites. Vous y découvrez aussi celles des autres.
    Vous avez déjà "Le Journal de PiStar" pour poser vos questions et y lire les réponses qui vous ont été faites. Vous y découvrez aussi celles des autres.
    Vous avez cet espace en plus pour découvrir un peu de tout : vos réflexions à propos d'un sujet, une histoire que vous avez envie de raconter et qui pourrait donner des idées aux autres... en bref du nouveau qui incite à la réflexion.


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(A) Biorythmes, astrologie... et formation d'un couple. (2010)

    Questions récurrente concernant les vies passées : comment retrouver quelqu'un qu'on a passionnément aimé dans une vie précédente et, ainsi, ressusciter un amour passé très satisfaisant ? Sur quoi s'appuyer pour retrouver "la bonne personne" dans cette vie ?
  • Se souvenir : pas si simple !   Retour au Sommaire.
    Il semblerait simple de dire : "Souvenez-vous de cette personne et reconnaissez-la". Mais la question des vies passées a été tellement discréditée en Occident que les gens ont besoin de béquilles pour reconnaître quelqu'un qu'ils ont déjà rencontré et avec qui ils ont été heureux.
    Alors, ils se tournent vers une astrologie karmique ou vers la voyance. D'autres désirent une approche plus "scientifique", comme si l'astrologie ne l'était pas. Les biorythmes ont bénéficié de la caution de médecins dans les années 1930 et... de compagnies de taxis et d'assurances au Japon dans les années 1960. Alors certains ont voulu en faire une application pour conclure les meilleurs mariages possibles.
  • Base des biorythmes   Retour au Sommaire.
    (1) Le comportement de l'être humain est influencé par trois cycles.
    - 23 jours pour sa forme physique,
    - 28 jours pour sa forme émotionnelle,
    - 33 jours pour sa forme intellectuelle.
    Ces cycles sont considérés comme fixés une fois pour toute, comme trois horloges internes. Mais c'est bien là une idée de médecins masculins. Les règles des femmes ne suivent plus depuis longtemps les rythmes lunaires, alors penser que le cycle émotionnel a la fixité de la théorie a des chances d'être hazardeux.
    (2) Plus les cycles se ressemblent, plus les gens sont compatibles.
    Dans cette perspective, l'idéal serait de trouver une personne née le même jour que soi-même. C'est là une approche très mécaniste.
  • Prédestination
    Avec un habillage scientifique, nous retrouvons cette vieille idée de prédestination, du "c'était écrit" et que rien ne peut être changé. Cela justifie d'éviter tout effort d'adaptation et de progrès.
    Cela a un présupposé insidieux, du moins chez certaines personnes : les êtres spirituels sont prédéterminés une fois pour toutes et on lit cette prédestination dans l'univers matériel, en l'occurrence leur date de naissance. C'est une base encore plus fruste que l'astrologie et surtout elle ne propose pas un chemin d'amélioration de la possible relation.
  • Fanatiques
    Il ne s'agit pas de piétiner des techniques qui ont leur valeur... comme le fait de conseiller un mariage de préférence entre personnes ayant une même culture et une même langue au départ. Mais il ne faut pas en faire un fanatisme en déclarant qu'avoir un soleil en opposition ou des biorythmes différents rend tout accord impossible. Trop de ressemblances fige une personne dans son existence solitaire où l'autre n'est là qu'à titre de reflet. Mais si on cherche un portemanteau pour ses fantasmes, nul besoin de chercher bien loin, prenons n'importe quelle bonne raison qui dit "c'ést écrit d'avance".
  • Machisme
    "Je m'entends bien avec ma femme", dit le macho qui dicte sa conduite à sa "femme au foyer". Comme elle n'a pas d'activité salariée, elle ne dispose pas de l'indépendance économique lui permettant de s'affirmer comme une personne qui a mieux a faire que de servir de support aux désirs du dominant dans le couple. Quand l'indépendance économique est assurée, la peur de se tromper refait surface, et on s'en remet à un gourou qui marie ainsi des centaines de couples décrétés par lui... ou bien à une technique scientifique certes mais pas toujours employée avec discernement et sérénité.
  • Se trouver, se retrouver
    (1) IMPORTANT ! Vous êtes un être spirituel, vous n'êtes pas l'univers matériel !
    Les biorythmes ou l'astrologie vous aident à définir de quelle manière vous êtes entré dans l'univers matériel cette fois-ci (= dans cette incarnation) et comment tenir compte de votre corps et des circonstances sociales.
    (2) Fuyez toute dictature spirituelle.
    S'en remettre à ces deux types de sciences (biorythmes, astrologie) comme s'il s'agissait d'un diktat obligatoire serait affirmer la primauté du corps sur l'âme qui l'habite. Faire pire et vouloir imiter des civilisations anciennes qui ont organisé la rencontre des jeunes gens selon ces critères rendus obligatoires est une dictature spirituelle. Ces civilisations l'ont fait - parfois avec une incroyable brutalité émotionnelle - et elles en sont mortes. Malheureusement leur fanatisme ne l'est pas. Vous pouvez très bien vous heurter à quelques résurgences sur votre chemin spirituel.
    (3) Toute science est au service de l'homme.
    Se servir des biorythmes ou de l'astrologie pour mieux organiser sa vie - et choisir les meilleurs moments pour faire les choses ensemble si on est en couple - reste une excellente idée. Ces sciences sont là pour vous aider à tirer le meilleur parti de vos choix amicaux et amoureux.
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(B) Pourquoi un guérisseur ou un maître spirituel meurt-il plutôt jeune ? (2011)

    QUESTION. Ils sont sages et ils guident les autres. Ils sont guérisseurs et ils meurent jeunes, souvent de maladie. Comment se fait-il qu'ils ne peuvent pas s'aider eux-mêmes ?
    RÉPONSE N°1. Mais si, ils s'aident ! Bon, ils ne vous ont pas donné d'explications... ou bien vous n'avez pas su les entendre. Mais croyez-vous que ce soit vos affaires ?
    RÉPONSE N°2. Et si au lieu de chercher la faille chez eux, vous vous demandiez en quoi ils peuvent vous aider :
    - à avoir une meilleure vie dès maintenant.
    - à suffisamment faire le ménage dès maintenant afin d'avoir des vies futures allégées de tout ce qui aura été nettoyé dans celle-ci.
  • Ils ne meurent pas tous jeunes. Et parfois, ils vivent très vieux et en bonne santé   Retour au Sommaire.
    On a tendance à s'attarder sur les cas qui semblent en contradiction avec le bien qui est fait aux autres et qui n'est pas payé de retour. Ramakrishna est mort d'un cancer de la gorge, Bruno Groning est mort à 53 ans. Même le dieu Shiva resta longtemps marqué de bleu à la gorge quand il absorba le poison du monde pour rendre aux humains une planète moins empoisonnée.
    Ceux qui restent en vie très longtemps - et qui meurent comme une chandelle qui a brûlé jusqu'au bout - on n'en parle pas.
    Il n'en reste pas moins que voir un guérisseur mourir jeune fait se poser des questions.
  • Etre un guérisseur en Occident (et parfois même ailleurs) n'est pas une partie de plaisir   Retour au Sommaire.
    (1) Trop d'oppositions malveillantes.
    Avoir presque tout ce qui est puissant contre soi ne fait pas une vie remplie de plaisir ou même de simples satisfactions. Et si ce n'était que cela : les critiques, les attaques virulentes, les méchancetés et trahisons en tous genres sont le lot commun de ceux qui sortent de l'ombre pour montrer une meilleure façon de vivre, pour peu que ceux qui les écoutent consentent à apporter quelques réformes dans leur propre vie.
    Les attaques "antisectes", perpétrées la plupart du temps par ceux qui sont incapables d'aider leur prochain, peuvent donner envie d'aller voir ailleurs si l'air est meilleur. Alors, ces personnes dévouées ont - elles aussi - besoin d'aide... et vont la chercher ailleurs que dans notre monde.
    (1) On peut en avoir marre de prendre des coups.
    On peut donc concevoir que les plus solides personnes aient envie :
    - de dire que cela suffit,
    - et donc d'aller faire un tour dans l'au-delà.
    Seuls des gens qui ont une peur panique de la mort peuvent penser que perdre la vie, c'est tout perdre. Les guérisseurs et maîtres spirituels savent bien qu'ailleurs la vie risque d'être aussi intéressante que sur Terre, plus intéressante, même.
  • Ils pourraient mourir jeune... mais pourquoi malades ?   Retour au Sommaire.
    (1) Hypothèse n°1 : ils brûlent les scories du monde.
    Pourquoi beaucoup de ces gens de bien qui partent jeunes sont-ils à ce moment-là malades de la gorge ? Est-ce à cause de toutes les bonnes paroles qu'ils ont dites et qui n'ont jamais trouvé d'écho ? Est-ce parce qu'ils ont eu l'impression de parler dans le vide trop longtemps ?
    Ou bien ont-ils pris sur eux une partie du mal du monde ? C'est possible aussi.
    On raconte souvent qu'ils brûlent les scories du monde et que leur corps, en tant que creuset, finit par s'user très vite. Ils prennent donc un risque calculé, qui peut s'avérer mortel. Mais pour eux, qu'importe ! Soit ils trouveront un nouveau corps, soit ils continueront à aider depuis l'autre monde tant que perdure leur souvenir sur terre.
    (2) Hypothèse n°2 : ils peuvent avoir leurs propres problèmes à régler.
    Ces guérisseurs et enseignants ont - eux aussi - leurs propres problèmes : eux aussi doivent nettoyer leur vie. Reprocher à ces personnes de n'avoir pas su s'aider, c'est à peu près aussi intelligent que reprocher à son médecin d'avoir un rhume.
    (3) Hypothèse n°3 : les risques du métier.
    Passer son temps en présence des pensées négatives et de toutes les misères du corps des malades peut finir par faire relâcher sa propre vigilance. Et c'est là que le guérisseur peut se retrouver momentanément submergé par l'ampleur des choses matérielles et spirituelles à nettoyer. Ils en ont fait trop, ils ont été imprudents... mais à la différence de ceux à qui ils ont apporté de l'aide, ils n'ont pas de problème personnel à régler. Même si leur corps est malade, je pense que leur tête ou leur coeur ne l'est pas. Ils n'ont aucune complaisance à être malade, c'est simplement les risques du métier. Dans une vie suivante, ils seront soit plus prudents... soit moins dévoués.
  • La vraie question est : en quoi ces guérisseurs et enseignants peuvent-ils m'aider ? Déjà pour cette vie, mais aussi pour ma prochaine vie ?   Retour au Sommaire.
    (1) On doit commencer par s'occuper de ses affaires.
    Les gens pratiques et de bon sens ne vont pas se mettre à spéculer sur la vie personnelle d'un guérisseur ou d'un enseignant spirituel. S'ils vont consulter un médecin, ils ne se demandent pas quel est son plat favori le dimanche ou s'il a mal aux pieds...
    Concernant le guérisseur, ils se demanderont : peut-il faire quelque chose pour moi ? Enseigne-il un bon moyen d'améliorer sa vie et d'avoir une meilleure santé ?
    La meilleure façon d'évaluer le bien que peut faire un guérisseur est de le rencontrer, de mettre ses recettes en application et de voir si cela fonctionne, au moins pour soi. Faire ses propres expériences pour avoir une opinion relève du simple bon sens, chose qui n'est pas toujours très répandue !
    (2) Le "plus" du guérisseur.
    Un guérisseur, quelque soit la technique employée, apporte un "plus" spirituel à la personne malade dans son corps. Les plus grands voient les problèmes spirituels à l'origine de l'effondrement du corps et aident le malade à en prendre conscience et donc à réformer sa vie.
    (3) On a intérêt à guérir avant de mourir !
    Quand on change de corps, si l'on ne s'est pas nettoyé d'une mort violente ou d'une maladie que l'on n'a pas su quitter, on risque de se réincarner avec des prédispositions à vivre la même chose.
    La mort violente devra être nettoyée post-mortem et ce n'est pas ce qui nous préoccupe pour l'instant. Tout le reste, toutes les maladies... peuvent être nettoyées de leurs causes émotionnelles si on veut s'éviter de reprendre la même pente fatale dans sa prochaine incarnation. C'est pourquoi tout ce qui a trait à la guérison spirituelle ne doit pas être négligé. Il arrive que les changements intérieurs soient suffisamment intenses pour que la guérison physique s'en suive. C'est ce qu'on appelle un miracle, et il ne faut surtout pas s'en moquer. Mais, même si les prises de conscience sont moindres, la propension à voir dans la maladie une solution disparaît peu à peu. On n'est plus d'accord pour fuir grâce à l'excuse de la maladie, ou bien on cesse de penser qu'il est bien de souffrir. Et on sort de 2000 ans de christianisme où la douleur est une gloire. On a rarement fait pire en matière de sottise ! Mais il n'est pas nécessaire de persévérer dans cette coupable complaisance.
    (4) Cessez de penser en termes d'erreurs ou de maladies.
    Donc, quand vous voulez guérir définitivement, faites ce qu'il faut, non pas pour combattre le mal mais pour retrouver le chemin du bien.
    L'allopathie combat un ennemi. L'homéopathie soutient le corps dans sa quête de sa bonne santé passée. Le guérisseur vous guide vers votre état initial, celui de la bonne santé de votre corps. Rien de tout cela n'est incompatible : si on a une jambe cassée, il faut d'abord aller voir le chirurgien ! On s'occupe d'abord des conséquences fâcheuses, c'est après qu'on s'occupe des causes : on soigne la jambe cassée et on va voir le guérisseur pour qu'il remettre les énergies en place et -éventuellement - donne les bons conseils pour ne pas recommencer.
    (5) La vraie guérison est de retrouver le chemin de la bonne santé.
    Mourir n'est pas une tragédie. En revanche, s'empêcher de vivre, en ressassant du négatif, est une grande stupidité.
    Vous étiez en bonne santé avant d'être malade. Vous avez donc intérêt à ôter tout superflu malveillant de votre vie. Et au lieu de prier ou de travailler pour combattre la maladie, pensez plutôt à reprendre le chemin de la bonne santé.
    Ce n'est pas une manière de parler, c'est un vrai conseil. Pratiquement, cela veut dire :
    - cesser de s'empoisonner, puis se servir le plus souvent possible une nourriture saine,
    - cesser de fréquenter les gens négatifs (y compris les stupidités télévisuelles), puis rechercher des gens de bien à fréquenter.
    Résultat : quand l'histoire d'une vie se termine, on peut quitter le terrain de jeu sans honte (= mourir). On fera mieux la prochaine fois, dans de meilleures circonstances.
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(C) Pourquoi les gens de bien se font-ils systématiquement démolir ? (2011)

    Vous venez de fournir quelques raisons expliquant pourquoi certains guérisseurs, apparemment, ne se guérissent pas eux-même. Ce qui me fait problème est le fait suivant. Nombre de guérisseurs et d'enseignants spirituels ont simplement cherché à aider leurs contemporains. Je sais bien que c'est l'habitude, mais cela me révolte de voir qu'une personne de bien se fasse démolir. Vous pouvez m'en dire plus ?

  • On devrait laisser les guérisseurs... guérir !   Retour au Sommaire.
    Nous l'avons déjà cité, le chancelier allemand Bismarck avait déclaré : "Ceux à qui Dieu a donné le don de guérir, on doit les laisser faire". Recommandation qui fut oubliée unanimement par les ordres de médecins quels qu'ils soient, encore que, maintenant, en Allemagne, les "heilpraktiker" praticiens de santé, y compris praticiens spirituels, soient acceptés.
    En France, nous commençons à avoir l'habitude de voir que la santé dite publique est plus préoccupée des dividendes des labos pharmaceutiques que de la santé des citoyens. Ne cherchez pas ailleurs la "bonne" raison de la haine de l'Etat français contre tout ce qui porte atteinte à son monopole (par richissimes labos interposés) du "droit à exercer la médecine".
  • Le bien et le mal.   Retour au Sommaire.
    L'information circule, elle fait (parfois) la "une" de publications nationales. Mais personne - ou presque - n'y croit. Comment est-ce possible ?
    Prenons l'exemple du mercure, poison notoire. Après le scandale du mercure dans les amalgames dentaires, le mercure dans les poissons des mers froides, le mercure dans les ampoules basses consommation... de quoi le gouvernement a-t-il accouché comme mesurette il y a quelques années ? De l'interdiction des antiques thermomètres à mercure !
    Le mal est devant vos yeux et vous ne voulez pas y croire...
  • Comment convaincre les gens de l'existence du mal ?   Retour au Sommaire.
    Le mal n'est pas une abstraction ou une fiction religieuse. Ce sont des actes perpétrés contre l'intérêt général ou particulier, avec l'intention délibérée de nuire, ce qui veut dire : ignorer (le moins pire) ou se délecter (trop souvent) de la souffrance que l'on causera.
    Un maître spirituel pourra faire tous les discours sur le mal, il sait qu'il ne sera pas beaucoup écouté. Il lui reste donc l'action délibérée pour mettre en relief le mal causé par les méchants. Et cela répond à la question suivante :
    "Comment se fait-il qu'un maître spirituel puisse tolérer près de lui un méchant qui a déjà donné des preuves de sa perversité ?"
    La tentation est grande de penser qu'il (ou elle) n'est pas si clairvoyant que cela. La réponse de Bruno Groning me semble pleine de bon sens. Il a dit quelque chose de ce genre : "Le mal existe. Mais vous n'arrivez pas à vous rendre compte à quel point il est puissant. Alors, quand je laisse des méchants s'attaquer à moi, je vous montre à quel point ce mal existe. Donc, quand vous rencontrerez quelque chose d'approchant, vous saurez le reconnaître".
    Plutôt que plaindre Bruno Groning - qui n'en demande pas tant - apprenez à quoi le mal ressemble, de manière à reconnaître le méchant quand il se pointe dans votre vie, puis à prendre le large.
    Au faut, il se peut que, quand un certain Jésus tendit l'autre joue à celui qui lui donna une gifle, ce ne fut peut-être pas par masochisme mais tout simplement pour apprendre aux ignorants à reconnaître le mal.
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(D) Un point de vue scientifique sur le bien et le mal. (2012)

    RÉFLEXION. Le bien et le mal constituent une réflexion récurrente que l'on se fait de vies en vies. Existe-il un point de vue scientifique sur le sujet afin que j'emporte cela de préférence aux enseignements religieux pour ma prochaine vie ?
    RÉPONSE RAPIDE. La question est donc : puisque les philosophies et les religions donnent des réponses pas très satisfaisantes concernant le bien et le mal, existe-t-il une approche scientifique ?
    Petite réponse très simple :
    - Cela améliore votre bien ? Donc c'est bien pour vous.
    - Cela vous crée plus de problèmes que de solutions, donc c'est "mal" pour vous.
    Mais vous voulez plus, alors risquons une hypothèse scientifique.

    (1) La théorie des quantas et le mal.
    Jusque dans les années 1990, la théorie dominante sur l'univers était "la théorie des quantas", associé au "principe d'incertitude d'Heisenberg" énoncé par le physicien Heisenberg en 1933. Le principe en est simple : l'univers est inconnaissable, tout simplement parce que c'est un fichu machin qui repose sur le hasard, ce qui est un mot poli pour "désordre". Vous avez envie de dire "mais l'univers repose sur des lois". Certes, vous sera-t-il répondu, sur l'ordre apparent reposant sur la théorie des grands nombres, celle qui dit qu'il y a des lois uniquement statistiques. Jetez une pièce en l'air, une fois et elle tombera pile ou face, 1000 fois et vous aurez environ 500 fois pile et 500 fois face. Donc vous pouvez faire des prédictions sur les grands nombres, mais pas sur les actions en petit nombre ou individuelles.
    Pour votre gouverne, sachez qu'Einstein détestait le "principe d'incertitude". Il est mort trop tôt pour voir triompher une meilleure théorie de l'univers. Mais comme nous vivons plusieurs vies, il fait peut-être partie des nouveaux jeunes et brillants physiciens de notre temps.
    La théorie des cordes raconte l'inverse de ce désordre de l'univers que sont les quantas assaisonnés à la sauce "incertitude".
    (2) La théorie des cordes et le bien.
    Une corde, c'est l'inverse d'un quanta.
    Un quanta, c'est une particule qui n'en fait qu'à sa tête. Une corde, c'est aussi une particule, mais qui agit en harmonie avec les autres.
    Pourquoi une corde ? Parce que c'est un petit cercle formé d'un fil vibrant et chantant.
    Pour les tenants de la théorie des cordes - et c'est la théorie qui rencontre l'adhésion de plus en plus de physiciens - l'univers est ordonné et on pourrait même dire bienveillant à notre égard.
    (3) Nikola Tesla et l'énergie infinie et inépuisable de l'univers.
    Nikola Tesla fut un des plus grands physiciens de son temps. Il est mort en 1943, vraisemblablement assassiné par les Américains. Pensez, il avait donné des preuves comme quoi une énergie inépuisable était à disposition de l'homme pour peu qu'on utilise certains de ses dispositifs. Mais si les gens disposaient librement de toute l'énergie nécessaire, les maléfiques puissances financières qui manipulent ce monde ne pourraient plus exercer leur chantage sur l'humanité.
    (4) L'inépuisable énergie harmonisatrice du "courant guérisseur" des maîtres spirituels.
    La théorie des cordes postule que l'univers se porte bien. Parfois il y a des endroits en désordre : disons qu'une petite corde se met à chanter faux. Aussitôt, quelques cordes se précipitent vers elles et l'aident à retrouver son équilibre et à chanter juste à nouveau.
    Un certain nombre d'enseignants spirituels enseignent que le "courant guérisseur", "l'énergie harmonisatrice universelle"... remet de l'ordre dans un corps physique en désordre. Disons que l'énergie de l'univers, dans son ensemble, "chante juste" et qu'elle réapprend aux cellules de notre corps à chanter juste. Dans ce cas, chanter faux est la maladie et chanter juste est la bonne santé.

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    Pour en savoir plus, voyez "Le Petit Journal" et sa rubrique "(5) 1000 Vies" depuis 2010